FREE PALESTINE
2 mars 2008

Récit du procès Enderlin/karsenty sur l'affaire Mohamed Al Dura au tribunal de paris


Récit du procès Enderlin/karsenty sur l'affaire Mohamed Al Dura au tribunal de paris


Par Gouns

Mercredi 27 février. J'arrive vers 18 h au procès Enderlin / Karsenty, il a débuté 2 h plus tôt. Philippe Karsenty, rappelons le, y est poursuivi devant la 11eme chambre du TGI de Paris pour diffamation à l'encontre de France 2 et de Charles Enderlin. En effet le premier a accusé les seconds d'avoir diffusé un reportage bidonné sur le meurtre en direct par l'armée israélienne, d'un enfant palestinien, Mohammed Al Doura, le 30 septembre 2000 à Ghaza. Assassinat qui on s'en souvient avait relancé le soutien à l'intifada. Pour lui, Mohammed, serait en vie ( même si la région est riche en miracles de ce type ironisera l'avocat d'Enderlin, il y a des limites.. ) et le tout ne serait en fait qu'une vaste esbroufe, mise en scène par des figurants, filmée par le cameraman palestinien Talal Abu Rahma travaillant habituellement pour la 2 et ce, avec la complicité de Charles Enderlin. A des fins de propagande. Edifiant. Un procès où n'a manqué, de la part du mis en examen et de ses conseils, ni l'arrogance, ni les allusions racistes, ni les tentatives d'intimidation de la cour. Rappelons que Karsenty accuse également Enderlin par son reportage rien moins que d'avoir une part dans le crime de Daniel Pearl, supplicié le 30 janvier 2002 à Karachi puisque ses assassins lui ont fait brandir, cyniquement, avant de le mettre à mort, une photo de la scène du martyr de Mohammed Al Doura. On connaît l'étape suivante de ce procès à laquelle rêve Karsenty s'il avait gain de cause.

A présent l'entrée est libre mais à l'ouverture ça a été très chaud. Plusieurs amis déjà là à mon arrivée, me l'ont confirmé, c'est à un véritable mini check point que se sont d'abord heurtés les citoyens désireux d'accéder à la 11eme chambre. Histoire de les plonger dans l'ambiance des territoires palestiniens. Il fallait le voir pour le croire, le mis en examen Philippe Karsenty sans doute au comble de l'empathie avec les gardes frontières israéliens, flanqué de l'un des gardes du corps de Richard Prasquier, le président du CRIF lui même, filtrait tout simplement les entrées à la porte de la salle d'audience. ( voir le film sur You Tube ). Désignant tranquillement aux gendarmes, qui pouvait ou qui ne pouvait pas, accéder au sanctuaire, au faciès. Ces mêmes témoins sont formels, les représentants de l'Etat ont laissé faire ce tri. Au moins le temps que le supporter de Tsahal, adepte du fait accompli comme son armée préférée ait réussi à faire envahir le moindre recoin de la salle d'audience par toute sa smala. Quand plusieurs heures plus tard je pénètre à mon tour dans la salle, il y flotte effectivement comme un parfum de Cisjordanie occupée. Ma tête d'indigène étant ce qu'elle est, je remarque aux regards hostiles qui me sont jetés quand je fais irruption dans le tribunal, que je ne suis pas le bien venu. Tout à coup je me surprends à sourire à l'idée que l'évident militant sioniste à côté duquel je me suis assis ( la suite me le confirmera ) et qui me dévisage déjà avec hostilité, pourrait presque procéder à une vérification de mon identité sans que cela n'émeuve les débonnaires gendarmes de service qui eux n'ont même pas daigner vérifier mon sac à dos. Les sionistes sont les maîtres des lieux, ils sont venus en nombre et ont réussi, m'a t-on dit, à squatter les bancs du public, plus rapidement encore que les colons n'installent une colonie sauvage du côté de Hébron.

Karsenty se perd dans ses explications oiseuses sur les rushs du reportage où il est question de chiffon rouge ayant été déplacé, d‘absence (selon lui) de sang sur le mur, de bras de l'enfant levé « après sa mort supposée », de deux doigts passant devant la caméra signifiant selon lui 2eme prise de vue pour ce qui serait une 2eme répétition. J'écoute à présent l'avocat d'Enderlin, Francis Spizner. Il est très bon. Très enflammé, il n'hésite pas à qualifier Karsenty de véritable révisionniste du type Faurisson , pour sa pitoyable tentative de nier la mort de l'enfant et à le ridiculiser pour ses allégations selon lesquelles toute l'affaire ne serait qu'un abracadabrantesque montage, réalisé avec la complicité de France 2, de tous les journalistes étrangers présents ce jour là, des médecins ayant soigné le père de l'enfant, des ambulanciers palestiniens. Bien sûr ce scénario digne des meilleurs réalisateurs d'Hollywood a exigé également la complicité de toute la famille du petit Mohammed, de tout le quartier où elle vit et même de tout Ghaza qui a laissé enterrer un enfant sous l'identité usurpée de Mohammed Al Doura. Un bidonnage qui aurait même requis pour finir la complicité du roi Hussein de Jordanie dont la partition aurait consisté, pour donner le change, à faire hospitaliser le père de l'enfant dans un hôpital d'Amman puis à aller le visiter. On appréciera l'habileté et la fourberie palestiniennes, si l'on se place du point de vue de Karsenty, quand on saura que les services secrets Israéliens, Shin beth, Mossad etc. eux mêmes disposant pourtant de centaines d'agents sur place au point de pouvoir chaque jour repérer et assassiner n'importe quel combattant clandestin, ont eux aussi gober la supercherie survenue le 30 septembre 2000 au carrefour de Netzarim sans pouvoir la démasquer après coup ! Et puis, le monde entier qui a vu les images de la mort en direct du petit Mohammed, ces dizaines de milliers de journalistes de tous les pays, dont aucun ne s'est rendu compte ou n'a voulu se rendre compte qu'elles étaient fausses, ne sont pas t-ils tous complices ?! Ce n'est plus David contre Goliath, c'est David Vincent contre Les Envahisseurs. Philippe Karsenty et ses amis sont les seuls dans l'univers à savoir que tout cette affaire est un faux grossier, seuls à savoir, comme il en a fait la révélation à la cour, que « Mohammed Al Doura est bien vivant et qu'on l'aurait même vu faire ses courses sur un marché à Gaza » ( d'ailleurs oserais je ajouter ne s'y promenait il pas avec un Elvis Preslay tout juste sorti de son île du pacifique, ce jour là ? ). Mais comme c'est dur de détenir, seul, la vérité et surtout de ne pas être cru ! Aussi inlassablement, il mène sa croisade.

Soyons franc, à certains moments ses explications en deviennent si désopilantes, que même l'avocat général ne peut réprimer un sourire. Mais plus sérieusement, une question me taraude soudainement, comment le mépris des Palestiniens peut il conduire l'individu debout à une dizaine de mètres de moi, apparemment sain d'esprit à parler ainsi de la mort d'un enfant, à dénier à ses Arabes de parents tout sentiment humain, jusqu'à vouloir convaincre une cour de justice qu'ils aient pu se prêter avec leur gosse, acteur parfait, hurlant de terreur et simulant la mort, à une mascarade aussi morbide. En fait le fond de l'affaire d'un bout à l'autre pue le racisme. Deux exemples parmi bien d'autres. L'avocat extrait de son classeur, un document, il s'agit d'une étude graphologique de la signature du cameraman palestinien, Talal Abou Rahma, figurant au bas de son témoignage le 30 septembre 2000. Témoignage par lequel il assure être convaincu que les tirs mortels venaient bien de la position israélienne . De cette brillante étude graphologique faite à la demande de Karsenty, il ressort entre autres, que cette signature « trahit une écriture orientale (sic ! ) témoignant d'un caractère mégalomane et dissimulateur » ces deux qualificatifs faisant évidemment redondance avec « oriental ». Plus obscène. Photos brandies à l'appui, maître Spizner nous révèle que pour les besoins d'une reconstitution en studio de ce drame, Karsenty n'a rien trouvé de mieux pour représenter l'enfant palestinien qu'une poupée Barbie mais noire ! Et l'avocat d'Enderlin de s'écrier « 99% des poupées Barby sont blanches mais Karsenty a réussi difficilement à en dénicher une, noire, mais dans quel but ? ».

Karsenty a réponse à tout. Quand l'accusation lui demande pourquoi selon lui l'armée israélienne elle même n'a pas cherché à démonter le reportage d'Enderlin, et qu'elle n'a même pas supprimer l'accréditation du caméraman palestinien, « c'est parce qu'elle n'a pas compris l'enjeu de cette affaire et/ou qu'elle protège Enderlin » répond t-il péremptoire. Ce qui fait doucement sourire quand on sait, par exemple, quel acharnement cette armée a déployé pour tenter de prouver au monde qu'elle n'était pas responsable de la plupart des assassinats de civils Palestiniens, notamment ceux des 7 membres d'une famille décimée le 9 juin 2006 par un tir d'obus sur une plage de Ghaza, ou comment, autre exemple, elle s'est employée à dénoncer la prétendue « éducation à la haine » des programmes scolaires palestiniens . Son silence dans une affaire aussi dommageable pour Israël, ayant fait le tour du monde, n'est il pas au contraire éloquent ? Il est vrai que les charges contre cette armée sont si accablantes qu'on l'imagine mal entreprendre une action en justice. D'ailleurs est-il nécessaire de rappeler que 8 jours après l'assassinat du petit Al Doura, les soldats, merveilleux aveu, se sont précipités au carrefour de Netzarim, pas pour y enquêter, mais pour empêcher au contraire toute enquête. Ils ont détruit au bulldozer le mur contre lequel fut assassiné l'enfant. Je ne sais si cette bizarrerie fut évoquée avant mon arrivée au procès. [1]

Revenons en à ce Karsenty qui ne se rend même pas compte des incohérences qu'il prodigue. A suivre sa logique, le complot est bien plus vaste. Ainsi s'il prétend que le tout était une mise en scène, alors ne faut il pas inclure dans le casting les soldats israéliens présents à proximité dans leur casemate et dotés de lunettes de tir très performantes ? Là encore s'agit il de cécité ou de complicité ? Car ceux ci ne peuvent manquer d'avoir vu un jeu d'acteurs aussi tumultueux à cent mètres à peine de leur position, pourquoi se taisent ils eux aussi ?

Pour finir, l'avocat de la partie civile nous apprend que Jamal Al Doura, a déclaré accepter, si besoin est, que soit pratiquée une comparaison d'ADN de son fils avec le sien après exhumation du cadavre de celui ci. Mais il y a fort à parier que même dans cette terrible éventualité, Karsenty et sa bande de psychopathes ne seraient toujours pas rassasiés. Car il n'est pas seul. Une bande de sinistres illuminés le seconde. Tout d'abord, L'UPJF, ( c'est à peine croyable et j'ai peine à dérouler leur sigle de crainte de me ramasser un procès mais c'est l'Union des patrons et professionnels juifs de France), le site que dirige Mme Karsenty elle même, l'ultra sioniste « média-rating », ça vaut le détour, mais aussi l'agence de presse La Mena appartenant à Metulla News Agency dont les locaux sont situés à proximité de la frontière libanaise, une agence qui s'intitule elle même « agence de ré-information » (sic) elle dispute à Karsenty la paternité du scoop sur le petit Mohammed Al Doura mais aussi la palme de la folie furieuse, le tout relayé par la radio communautaire, Radio J. Sans oublier l'ambassadeur de la paix pour l'Unesco, l'ami des enfants, Enrico Macias, notre humaniste bien connu qui, au cours de la bien nommée émission de Fogiel « On ne peut pas plaire à tout le monde » le 25.4.2003 avait accrédité une thèse différente mais tout autant délirante, prétendant que "l'enfant avait été placé là exprès pour en faire un argument contre Israël". Ce qui en dit long sur la bestialité qu'il prête aux Arabes. Ces derniers comme ont le sait pondant des mioches comme d'autres font de la prose, n'auraient évidemment aucun scrupule à faire crucifié par balles un de leurs nombreux rejetons pour les besoins de la cause. Mais pourquoi l'oublier, le président du CRIF, Richard Prasquier lui-même était là, qui, de son banc, promenait un regard bienveillant sur ses ouailles tout au long du procès. On le voit, l'enjeu est de taille. Si la monstrueuse entreprise de Karsenty étaient tant soi peu validée, les défenseurs des assassins du petit Mohammed Al Doura, confortés dans leur thèse odieuse, pourraient pavoiser de par le vaste monde . Allant de ci de là, ils proclameraient "Vous voyez, on a raison, tout ce qui vient des Palestiniens est faux, la Naqba est un mythe, le massacre de Deir Yassin en 1948 ne s'est jamais produit, celui de Sabra et Chatila en 1982, on vous le disait, nous n'y sommes pour rien, l'existence même des Palestiniens est une illusion » Et ceci dans l'espoir qu'un jour le monde entier reprenne en chœur les propos orduriers du 1er ministre israélien, Golda Meir en 1969, « Il n'y a rien qui corresponde à Palestiniens » . [2]

Mon opinion est qu'en fait un secteur de l'establishment israélien et sioniste de France, très motivé pousse en avant Karsenty, investissant des millions pour financer ses activités de désinformation ( les procès, les expertises balistiques , graphologiques, les déplacements à l'étranger, tout ça coûte très cher ) car l'affaire pour eux serait difficile à soutenir publiquement. L'intérêt on le connaît, même si leurs élucubrations ne convainquent pas, il s'agit de faire triompher, par lassitude, le fameux, « on ne sait jamais ce que l'on voit » au nom du « il n'y a pas de fumée sans feu » Et puis d'user leurs adversaires par de sempiternels procès. Avec comme aboutissement en terme d'image, un Moyen-Orient arabo-musulman du flou, de l'obscur, de l'incertain de l'inquiétant, d'où émergent les lumières d'Israël.

Le procureur peu impressionné par le chantage de Karsenty qui proposait récemment sur son site de noter les magistrats en créant un site « justice–rating » à l'instar de son « média–rating » ou par des envolées du style « Quand la vérité éclatera enfin, quelle honte pour la France ! » a demandé confirmation de la peine de 1ere instance condamnant le mis en examen Karsenty pour diffamation. à l'encontre de France télévision, Charles Enderlin et Talal Abou Rahma. Alors que je sors de la salle, je me plais à rêver, à quand des poursuites à l'encontre de Karsenty pour diffamation à l'encontre du peuple palestinien [3] ? J'espère que beaucoup de monde viendra au verdict, en mai. La mémoire du petit Mohammed Al Doura est sacrée, c'est la mémoire de tous les enfants victimes du racisme, de l'intolérance et du colonialisme.

"Pour eux le Palestinien ou le musulman ne peut être que lâche, parfois rusé, au sens de fourbe, jamais courageux car toujours fanatique."

Gouns

[1] Petit rappel sommaire de cette affaire que j'emprunte à Jeanotel le 18 / 10 sur le forum de France 2 qui lui même l'emprunte au livre "LES NOUVEAUX DESINFORMATEURS" de l'excellent GUILLAUME WEILL RAYNAL ( rien à voir avec son frère jumeau Clément Weill Raynal, comme quoi…) pages 83 à 108 • « - le 28 septembre 2000 visite de SHARON sur l'esplanade des mosquées
le 30 septembre au soir (jour des faits) Enderlin avait prévenu l'armée israélienne que des images difficiles allaient être diffusées et l'avait invité à réagir immédiatement
le 3 octobre ( 3 jours après les faits) :le général israélien Eiland déclare au terme d'une enquête interne : « Autant que l'on puisse en juger, l'enfant a été atteint par un de nos tirs » -…le mur de parpaings devant lequel le drame s'était produit a été rasé huit jours après les faits par le général SAMIA.
mais le 27 novembre 2000, le général israélien SAMIA qui commande la région Sud organise une conférence de presse pour délivrer les conclusions d'une expertise balistique qui selon lui démontrerait au contraire l'origine palestinienne du tir. Comment cela est il possible alors que le « cadre du crime » a été détruit ?
Cela n'empêche pas à l'été 2002 , des sociologues et le philosophe FINKELKRAUT d'affirmer qu'une contre enquête prouve l'origine palestinienne du tir… »

[2] There were no such thing as Palestinians. When was there an independent Palestinian people with a Palestinian state ? It was either southern Syria before the First World War, and then it was a Palestine including Jordan. It was not as though there was a Palestinian people in Palestine considering itself as a Palestinian people and we came and threw them out and took their country away from them. They did not exist. o Sunday Times, 1969-06-15 ; The Washington Post, 1969-06-16

[3] Je rêve effectivement. Dans la France d'aujourd'hui, calomnier une famille arabe en prétendant qu'elle a laissé mettre à mort son enfant comme le dit Enrico Macias ou même qu'elle l'a laissé martyriser au cours d'une prise de vue morbide, ne sera jamais un délit. Calomnies racistes du même type que celles qui faisaient dire aux sionistes de France et de Navarre que les mamans palestiniennes poussaient leurs enfants à devenir martyrs pour toucher la prime d'Arafat, calomnies racistes comme celles qui faisaient dire à d'autres et parfois les mêmes en 2000 que les hommes palestiniens se cachent derrière les femmes et les enfants qu'ils poussent en avant.( la même saloperie raciste sera reprise dans le Monde en 2003 dans la description d'une manif' musulmane à Strasbourg « comme dans l'Intifada, avec eux toujours les femmes et les enfants d'abord », écrira cette personne )


http://indigenes-republique.org/spip.php?article1281

http://www.dailymotion.com/relevance/search/charles%2Benderlin/video/x4j38o_proces-enderlinkarsenty-27022008_news

Phillipe Karsenty tente d'empêcher le public d'entrer dans la salle du tribunal pouvant accueillir une dizaine de personnes. A l'aide d'un de ses camarades sous l'oeil bienveillant des gendarmes il fait entrer sa famille pour que les journalistes et le public ne puiissent pas assister au procès qui l'oppose à charles Enderlin et France 2. A La 50eme seconde on peut entendre P. Karsenty dire à une dame essayny de se frayer un passage "Vous n'êtes rien"


procès Enderlin/Karsenty 27/02/2008
Uploaded by hasmezi

Commentaires
O
les soldats israeliens sont a vomir, toutes votre méchanceté est a vomir, je demande justice a dieu le tout puissant de punir les bourreaux!
Répondre
E
Hercule: avec tes propos nazi-sionistes et negationistes du peuple palestinien , c'est toi celui qui risque de ne plus exister un jour... des ordures comme toi on peut volontiers se passer...
Répondre
M
Certains commentaires me font flipper!<br /> Un humain dit: Si cet enfant a été tué, paix à son âme; si c'est une supercherie, alors pleurons tous, en nous rappelant que la bassesse humaine n'a pas e limite.<br /> <br /> Un autre dira ce que vous dites.Soit honte sur vous de penser un instant que bla bla bla, Soit mais tout ce qu'on veut, nous, c'est la vérité, et n'en déplaise bla bla bla<br /> <br /> La vérité? c'est là ce que vous cherchez?<br /> Que vous apportera-t-elle? la paix d'esprit?<br /> <br /> Le parti pris est le premier voile sur nos yeux<br /> <br /> ps l'auteur un peu de cohérence tu utilises une image hébergée sur le site de l'upjf :-) personne ne voit ces choses...
Répondre
H
Nous avons droit à la vérité. Elle se cherche. <br /> <br /> Nous ne pouvons pas croire ce que l'autre croit sans raison objective. <br /> <br /> Nous avons droit à une réelle étude des faits et à une explication qui démontre la vérité avec certitude. <br /> <br /> Nous avons droit à sortir de l'ignorance. Nous avons droit à l'intelligence.<br /> <br /> Hermine Leboutte<br /> Louvain-la-Neuve, 6 juillet 2008
Répondre
A
Sommes nous sur le site du crif ? les commentaires laissent à désirer.<br /> Le peule juif et les israeliens sont-ils un peuple croyant ???dans la forme mais sans doutes jamais dans le fond....
Répondre
Derniers commentaires
Recevez nos infos gratuites
Visiteurs
Depuis la création 865 948
Archives