FREE PALESTINE
9 novembre 2008

Dexia finance des colonies juives

Bonjour,

Ceci est un avis aux clients Dexia, comme vous allez pouvoir le lire ci dessous, Dexia finance par le biais de sa filiale Israélienne des colonies juives en territoires palestiniens occupés. Ce qui est inacceptable, si on sait ce qui se passe en Palestine depuis des années. C'est un territoire occupé et il ne faudrait pas qu'un seul centime de notre poche puisse soutenir cette injustice. Donc cette avis est adressé aux clients de Dexia qui sont solidaire avec le peuple opprimé de Palestine, vous savez ce que vous avez à faire !!!


Goeiedag,

Dit is een bericht vooral voor de klanten van Dexia, zoals jullie het zullen lezen in het bijgevoegde krantenartikel van "Le Soir", financiert Dexia via haar dochterfiliaal de Joodse nederzettingen in het Palestijns grondgebied. Dit is onaanvaardbaar als men weet wat er allemaal gebeurt in Palestina. Palestina is een bezet land en geen enkele euro zou dit mogen steunen.
Dus dit bericht is voor alle klanten van Dexia die solidair zijn met het Palestijns volk, u weet wat u te doen staat!!!!

http://lesoir.be/actualite/monde/proche-orient-des-mouvements-2008-11-08-659132.shtml

Dexia finance des colonies juives
BAUDOUIN LOOS
samedi 08 novembre 2008, 11:31
La banque franco-belge Dexia finance, via sa filiale israélienne, le développement des colonies israéliennes en territoires palestiniens occupés, et cela depuis des années. Ce constat, qui aurait en effet pu être fait depuis longtemps, est mis en lumière par plusieurs groupes de solidarité avec la Palestine, qui lancent la semaine prochaine une action de protestation.
Depuis près de dix ans, Dexia s'intéresse au marché israélien. En plusieurs étapes, la banque franco-belge a acheté une firme bancaire israélienne, Otzar Hashilton Hamekomi (« Trésor du pouvoir local »), spécialisée comme ce nom l'indique dans le financement des communes et des collectivités locales, à l'instar du bon vieux Crédit communal belge, ancêtre de Dexia.
Depuis 2001, cette banque israélienne est contrôlée par Dexia qui détient 65,31 % du capital. La filiale Dexia Public Finance Israel est répertoriée sur le site de Dexia comme troisième en importance sur le marché israélien du financement des collectivités locales (avec un personnel de quarante personnes). La banque a pignon sur rue et est bien connue des Israéliens.

Avec d'autres mouvements, Intal, qui travaille sur divers dossiers de solidarité dans des pays du tiers-monde – Amérique du Sud, Congo, Philippines, Cuba – dont les territoires palestiniens, a décidé de lancer une campagne pour dénoncer l'implication de Dexia dans le financement des colonies juives en Cisjordanie et à Jérusalem-Est.
« Nous voulons rappeler que la colonisation est contraire au droit international, nous dit Mario Franssen, d'Intal. La Quatrième Convention de Genève interdit l'installation de populations du pays occupant dans le territoire occupé. Avec d'autres groupes, nous sommes engagés par ailleurs dans une campagne de boycott des produits israéliens, pour dénoncer l'occupation, et certains nous reprochent, de manière absurde, d'agir ainsi pour rayer Israël de la carte ou par antisémitisme ! Mais ici nous ciblons une situation bien particulière : le financement, par une banque franco-belge, du développement des colonies israéliennes dans les territoires occupés, toutes illégales. »
« Ce financement n'est guère contestable », dit encore Mario Franssen, dont le mouvement s'est procuré la retranscription d'une séance en commission des Finances de la Knesset (parlement israélien) qui date du 19 juin 2007. Les propos tenus par David Kapah, le directeur de Dexia Israel, ne laissent pas la place à l'ambiguïté : « Pour nous, la localisation géographique n'est pas pertinente. Si on parle de quelque chose au-delà de la Ligne verte (dans les territoires occupés, NDLR), nous, nous avons octroyé une aide financière ces deux dernières années et demie à Alfei Menasheh, Elkana, Beit-El, Ariel, Beit Aryeh, (le Conseil régional de) la Vallée du Jourdain, Givat Zeev, (le conseil régional de) Har Hevron, Kedumim, Beit Aryeh (…). Cela veut donc dire que, oui, c'est nous qui les soutenons financièrement et c'est encore vers nous que l'on vient pour recevoir du crédit. »
Et à la question d'une députée, Esterina Tartman, rapporteur de la Commission des Finances, elle-même résidente d'une colonie (Givon Ha-Hadasha) et désirant « savoir si la dimension de la localisation géographique de la Judée et de la Samarie (la Cisjordanie occupée) complique le processus de décision au sein de la Banque Dexia Israel », la réponse de David Kapah, laconique, se révèle claire : « Négatif. Absolument pas… »

Dexia, à Bruxelles, a été interpellé depuis 2001 par les mouvements belges de solidarité, sans grand succès, les réponses restant incomplètes ou imprécises, et la responsabilité globale de l'achat de la banque israélienne étant renvoyée à Dexia France.
A partir de la semaine prochaine, des actions de protestation seront donc lancées.

Dexia hors d'Israël : Action mercredi 12/11
Désinvestissement maintenant!

12/11/2008 - 07:00

12/11/2008 - 09:00

Les sources sont diponibles ici.

Nous nous rassemblons avec d'autres associations pour informer le public et les travailleurs de Dexia.

Mercredi 12 novembre à 7h30 du matin, place rogier, en face de la Tour Dexia.: soyez présent. Une action ludique est prévue ainsi qu'une distribution de tracts. Mario, porte-parole de la campagne, demandera une recontre avec les administrateurs de la Banque!

Nous exigeons que Dexia se sépare dès à présent de sa branche israélienne.

Nous avons besoins d'un maximum de monde pour faire pression. On compte sur vous!

Mercredi 7h30 place Rogier

Plus d'info: joaquim.dafonseca@intal.be

Communiqué de presse : Dexia hors d'Israël – Divestment Now!

Portrait de mariof

Ce samedi 8 novembre, Le Soir a publié un article sur le financement par Dexia SA de colonies juives en Cisjordanie et à Jérusalem-Est. Pour intal, le Codip, le VPK, la COBI et Vrede vzw, cette réalité n'est pas une surprise.

Communiqué de presse
DEXIA OUT OF ISRAEL - DIVESTMENT NOW*

Ce samedi 8 novembre, Le Soir a publié un article sur le financement par Dexia SA de colonies juives en Cisjordanie et à Jerusalem-Est. Pour intal, le Codip, le VPK, la COBI et Vrede vzw, cette réalité n'est pas une surprise.

En 2001 (1), Dexia SA a pris le contrôle de la banque israélienne Otzar Hashilton Hamekomi (OSM), rebaptisée en 2007 Dexia Public Finance Israël Ltd.

Dès 2001, nos organisations ont envoyé sans succès des lettres à Dexia SA pour obtenir des explications sur cet investissement. Par ailleurs, en 2004, un de nos militants a assisté à l'Assemblée Générale de la banque. Pressée de questions, Dexia SA s'est contentée de réponses évasives.

Pourtant, des preuves de son implication dans le financement de colonies illégales existent. En voici deux exemples.

a. En avril 2005, la banque Otzar Hashilton Hamekomi (OSM) a finalisé un accord avec le gouvernement israélien afin d'octroyer des prêts à long terme (12 ans) aux communes. Une somme de 1,9 millions de shekels (390,000 euros) a ainsi été allouée à la colonie de Ma'ale Efrayim. (2)

b. En juin 2007, M. David Kapah, administrateur délégué de Dexia Public Finance Israel Ltd., a déclaré qu'entre 2005 et 2007, divers prêts avaient été consentis à 10 colonies ou conseils régionaux en Cisjodanie. (3)

L'illégalité des colonies est précisée dans la quatrième Convention de Genève,(4)  dont l'article 49 stipule que "Le pouvoir occupant ne doit pas déporter ou transférer sa propre population dans les territoires qu'il occupe".

Sur base de cet article, le Conseil de Sécurité de l'ONU a condamné à plusieurs reprises la politique d'occupation d'Israël. Quant aux résolutions 446 du 22 mars 1979, 452 du 20 juillet 1979 et 465 du 1er mars 1980, elles dénoncent explicitement les violations de la quatrième Convention de Genève, commises par l'Etat juif.

Pour nous, il est inacceptable que Dexia SA contribue par son soutien financier à la colonisation des Territoires occupés palestiniens. Dans les prochains jours, nous entreprendrons des actions pour dénoncer cet état de fait.

Mario Franssen
Porte-parole de Dexia out of Israël
- 0498/54.16.42 -
mario.franssen@intal.be

* Nos actions s'inscrivent dans le cadre de la campagne BDS (Boycott, divestment, sanctions) lancée par plus d'une centaine d'organisations palestiniennes.

(1) http://www.dexia.com/n/docs/nl_0502rapports_ab/nl_0502rapporta09.pdf

(2) http://www.knesset.gov.il/mmm/data/pdf/m01630.pdf

(3) http://www.knesset.gov.il/protocols/data/rtf/ksafim/2007-06-19-02.rtf

(4) http://www.unhchr.ch/html/menu3/b/92.htm

Nous preparons l'action lundi 10/10 à 13.30 chez intal Chaussée de Haecht 53.

aussi ici: http://www.facebook.com/event.php?eid=14947814985

question parlementaire

20081112_Question_parlementaire_de_Jan_Jambon

20081112_question_parlementaire_C_Brotcorne_1

Commentaires
F
Allez manifester les petits bouffons de l extreme gauche qui se font manipuler.Vous etes belges c normal.Vous vous faites bouffer par les marocains et les africains chez vous.Bientot des pays comme le votre seront soumis aux lois de l islam comme le belge est faible.Vous jalousez la reussite et l ambition du JUIF car vous etes des faineants.Vous etes des faibles Israel vous bouffe dans tous les domaines de l economie et pour finir ce que vous appelez vous colonie nous on apelle ca la terre d Israel et cela depuis des siecles.Occupez vous de vos problemes à vous si vous ne voulez pas que nous on s occupe de Vous
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P
Pour l'instant il n'est pas demandé de boycotter Dexia, il est demandé à tout un chaqu'un, actionnaires, employés, agences, indépendants, simple citoyen de faire pression sur Dexia pour désinvestir en Israel, donc de se dessaisir de sa filiale, afin de se conformer au droit international, en particulier à la 4iemme convention de Genève.<br /> philippe
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P
... de boycotter Dexia en Belgique et en France !<br /> Pour rappel, il n'est plus obligatoire d'avoir un compte chez Dexia si l'on travaille de près ou de loin pour l'Etat. Pas plus qu'à la Poste d'ailleurs.<br /> A mon sens, c'est plus facile de contrôler l'efficacité d'une action si elle se passe devant votre porte qu'à des milliers de kilomètres.<br /> Oui, évidemment, si l'action fonctionne bien ,c'est l'emploi belge & français qui risque de trinquer ! Et comme les agences sont gérées par des indépendants, cela peut aller vite. Mais pour moi, un travailleur européen, asiatique, américain ou de n'importe où reste un travailleur qui a droit à sa dignité. Et qui n'a pas à subir les conséquences d'une action qu'il ne contrôle pas.<br /> Pour info, je ne suis pas Juif, je ne suis pas pro-israélien et je travaille pas chez Dexia.
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P
Voilà sans doute pourquoi un certain président d'une certaine république d'Europe, fils d'une juive* (ce qui n'est absolument pas une tare et qui n'a rien de déshonorant ou de stigmatisable en soi) ET sioniste (ce qui en est une énorme de tare) s'est empressé de faire soutenir DEXIA, sans vendre pourn auant sa belle montre, etc.., mais avec notre argent <br /> <br /> *ou supposée juive depuis le roi David,vu que Shlomo Sans dans son livre "comment fut inventé le peuple juif" nous explique que .......
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