FREE PALESTINE
9 avril 2024

!!ALARME!! Génocide à Gaza: J 185!! Nos 'merdias' & leurs journaleux qui ont repris l'immonde propagande sioniste sans sourciller

 

Des fonctionnaires israéliens affirment que Mme Cochav Elkayam-Levy a a cherché à gagner des millions en diffusant des fake news selon lesquelles le Hamas aurait perpétré des viols massifs le 7 octobre


 

Des responsables israéliens se sont “désolidarisés” d’une avocate qui a joué un rôle essentiel en promouvant de fausses affirmations selon lesquelles le Hamas aurait commis des viols et des abus sexuels systématiques le 7 octobre, a rapporté le média israélien Yedioth Ahronoth le 24 mars.


 

Le journal israélien a rapporté les affirmations de fonctionnaires des ministères israéliens selon lesquelles l’avocate Cochav Elkayam-Levy avait produit des analyses inexactes, diffusé de fausses allégations sur les atrocités qu’aurait commises le Hamas et cherché à collecter des millions de dollars de dons pour une soi-disant “commission civique” dont elle est l’unique membre.


 

Elkayam-Levy, qui dirige l’Institut Deborah et enseigne au département des relations internationales de l’Université hébraïque, a été l’une des premières à diffuser de telles affirmations selon lesquelles le Hamas aurait commis des viols systématiques lors de l’opération “Al-Aqsa Flood”.


 

Comme l’explique The Grayzone, M. Elkayam-Levy a présenté des images de combattantes kurdes tuées en Syrie tout en prétendant qu’il s’agissait de femmes juives israéliennes tuées et violées par des combattants du Hamas lors du festival de musique Nova, le 7 octobre.


 

The Grayzone a par ailleurs noté que l'avocate avait attiré l’attention du public de manière significative en décembre après avoir été interviewée par Jake Tapper de CNN et rencontré des membres du Conseil de sécurité nationale de la Maison Blanche, ainsi que l’assistante du président et directrice du Conseil de la politique du genre, Jennifer Klein, à Washington. “Les gens se sont désolidarisés d’elle parce que ses affirmations sont fausses”, a expliqué un fonctionnaire de l’un des bureaux du gouvernement à Yedioth Ahronoth. “Les Palestiniens nous ont accusés de propager de fausses nouvelles, et il s’avère que les conclusions de Mme Elkayam-Levy n’étaient ni fondées, ni justifiées”.


 

Mme Elkayam-Levy a diffusé dans la presse internationale l’histoire “de la femme enceinte à qui on a ouvert le ventre – une histoire dont il a été prouvé qu’elle était fausse”, s’est plaint un fonctionnaire. “Ce n’est pas une plaisanterie. Petit à petit, les professionnels ont commencé à prendre leurs distances avec elle en raison de son manque de fiabilité.” Elle a également créé une “commission civile” chargée d’enquêter sur les atrocités présumées commises par le Hamas. Bien que le nom de la commission suggère qu’il s’agissait d’un organe établi par le gouvernement, il n’était composé que d’Elkayam-Levy elle-même.


 

Elle a ensuite sollicité des millions de dollars de dons pour la fausse commission, affirmant qu’un budget de 8 millions de dollars, dont 1,5 million de dollars pour les frais administratifs, était nécessaire. “Rahm Emanuel, (ancien conseiller de Barak Obama), ambassadeur des États-Unis au Japon, lui a versé des fonds. Elle a reçu des dons de nombreuses personnes et a commencé à réclamer de l’argent pour des conférences”, a déclaré le même fonctionnaire du bureau gouvernemental.


 

Le reportage alarmant de Yeditoh Ahronoth intervient quelques jours seulement après que Mme Elkayam-Levy ait reçu le Prix d’Israël pour ses efforts de “sensibilisation” aux atrocités présumées du Hamas, le 7 octobre.


 

Le gouvernement israélien a cherché à utiliser des tiers apparemment neutres, notamment les services de secours bénévoles, comme ZAKA et United Hatzalah, pour diffuser de la propagande sur les événements du 7 octobre. Ces groupes ont inventé des histoires abracadabrantes sur les prétendus crimes du Hamas dans le but de justifier le génocide israélien en cours à Gaza.


 

De son côté, le journal Le Monde a mené une enquête qui a abouti à démentir d'autres allégations israéliennes portant sur la décapitation des bébés par les militants de Hamas lors de l’attaque de 7 octobre dernier.


 

Les médias dans le monde avaient largement répété un récit israélien selon lequel «40 bébés décapités auraient été retrouvés dans le kibboutz Kfar Aza», alors que ce massacre «n’a jamais eu lieu ni à Kfar Aza ni dans aucun autre kiboutz», comme l’avait confirmé au Monde le bureau de presse du gouvernement israélien.


 

Le journal français s’est demandé comment une telle rumeur, reprise même par le président américain, a été fabriquée pour prendre une telle ampleur extraordinaire sans que les autorités israéliennes ne prennent aucune mesure pour la combattre, au contraire elles l’ont exploitée pour manipuler les médias. L’envoyé du journal était parmi les dizaines de journalistes étrangers qui avaient participé à la visite organisée par l’armée d’occupation israélienne pour le kibboutz de Kfar Aza où 60 personnes ont été tuées.


 

Au cours des 90 minutes de la visite, les journalistes ont vu des cadavres dans des caisses ou, ceux des combattants de Hamas, qui jonchaient les rues, mais pas de bébés décapités. Ces derniers n’existaient que sur les réseaux sociaux, même les soldats israéliens ni les organisations de secours n’avaient évoqué de telles horreurs, ni nier d’ailleurs.


 

Le journaliste du Monde a assuré avoir publié son témoignage sur X le lendemain de la visite, mais il a remarqué que son post n’était plus visible en France et dans un nombre de pays européens, ce qui l’avait convaincu que ce récit est mensonger.


 

Un journaliste israélien a catégoriquement nié avoir véhiculé le récit de 40 enfants décapités à Kfar Aza qui était rapporté par Michel Levy, un médecin réserviste parlant la langue française. La rumeur est partie de la journaliste israélienne de i24 news, Nicole Zedeck qui a assuré que «40 enfants ont été transportés sur des brancards» quoi qu’elle ne les ait pas vus réellement.


 

Le porte-parole du gouvernement israélien a repris le soir le mensonge du journal i24 news, pour que le récit soit relayé par CNN, le porte-parole de l’armée israélienne, les journaux populaires anglais alors que les médias français étaient plus circonspects ne parlant que de trois enfants tués, tout en appelant à la prudence.


 

Le ministère israélien des Affaires étrangères a assuré dans une vidéo le récit des «bébés tués par les terroristes de Hamas» et qu’il détenait des preuves qui assurent leur décapitation. Le président Biden a prétendu avoir vu «des images des terroristes qui coupaient les têtes des enfants».


 

Ces informations mensongères, assurent des spécialistes, sont devenues des armes utilisées par les israéliens pour manipuler l’opinion publique et internationale. Le journal i24 news n’a démenti la rumeur que le 30 novembre, après environ deux mois de sa création. Le journal a assuré que malgré son démenti, la rue israélienne continuait à relater le récit comme s’il était vrai.


 

New Desk & Palinfo -

27.04 & 05.04.24

Sources: arretsurinfo.ch & ISM

 

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