12 juin 2025
!!Génocide à Gaza: J 615!! Les génocidaires sionistes ne supportent pas la vérité et veulent la faire taire
De la place Bethléem à Gaza : contre les collabos du génocide, contre l’ambassadrice sioniste et Georges-Louis Bouchez, pour la libération totale de la Palestine
Ce qu’on a vu sur la place Bethléem à 1060 Bruxelles, ce n’était pas du théâtre, ce n’était pas une mise en scène pro-Hamas comme veulent le faire croire les perroquets de l’ambassadrice d’'Israël'. Ce n’était pas une «reconstitution macabre», comme ose le titrer 7sur7 — ce média relais fidèle de la blanchisserie coloniale.
Ce qu’on a vu, c’était la vérité nue: Gaza à Bruxelles. La mort qui traîne au sol. Des corps d’enfants, de femmes, de civils, figés dans le silence. Une performance politique radicale. Une réponse digne, populaire et artistique à un génocide en direct, à un crime colonial télévisé, légitimé, normalisé par nos autorités, par nos partis, par nos médias et surtout par les complices directs du pouvoir israélien ici en Belgique: l’ambassadrice Rosenzweig-Abu et Georges-Louis Bouchez.
Sionisme d’État = génocide colonial
Ne tournons plus autour du pot. Le sionisme, ce projet politique colonial, racialiste et expansionniste né au cœur de l'Europe blanche, est aujourd'hui la matrice d’un régime d’apartheid, qui bombarde des écoles, extermine des familles entières, assassine journalistes, médecins, artistes, bébés, femmes enceintes, tout un peuple. Le sionisme, ce n’est pas une opinion: c’est une doctrine de mort, un racisme d’État militarisé, un outil impérialiste au service des intérêts occidentaux dans le monde arabe.
Ce que fait 'Israël' à Gaza, c’est un génocide méthodique, un massacre à la chaîne, documenté, filmé, revendiqué. L’ONU le dit. La Cour internationale de Justice a reconnu la plausibilité du crime de génocide. Des dizaines d’universitaires et de survivant·es d’autres génocides — Shoah comprise — l’ont affirmé. Et pourtant, l’ambassadrice d’'Israël' est toujours là. Libre. Officielle. Invitée. Choyée. Criminelle.
Idit Rosenzweig-Abu, ambassadrice d’un régime d’apartheid, est aujourd’hui la porte-parole officielle du mensonge d’État, de la désinformation stratégique, de l’effacement des victimes, et de la criminalisation de toute solidarité avec la Palestine. C’est elle qui, depuis Bruxelles, tente de faire taire les mouvements de soutien à Gaza. C’est elle qui réclame des enquêtes contre une performance artistique, pendant que son gouvernement largue du phosphore blanc sur Rafah.
Qu’est-ce qu’elle fait encore ici? Pourquoi cette criminelle diplomatique est-elle encore accréditée? Pourquoi les autorités belges n’ont-elles pas expulsé cette représentante d’un pouvoir qui pratique la purification ethnique? Il faut la faire dégager. Expulsion immédiate. Coupure des relations diplomatiques. Sanctions. Boycott total. Plus un euro, plus une arme, plus un mot de soutien à cet État colonial.
Georges-Louis Bouchez: valet de l’apartheid, collabo des massacres
Et que dire de Georges-Louis Bouchez, ce petit roquet libéral qui court après les miettes de reconnaissance de Tel-Aviv? Il ne rate pas une occasion de vomir sur les morts palestinien·nes, d’attaquer les collectifs pro-palestiniens, de justifier les bombardements, de criminaliser la jeunesse arabe de Belgique. GLB est devenu le visage francophone de la normalisation du génocide, un collabo intégral de l’apartheid.
Son obsession pour la Palestine cache mal son mépris de classe, son racisme anti-Arabe, son islamophobie électoraliste, et son désir profond de voir cette jeunesse populaire disparaître du champ politique. Ce qu’il veut, c’est une Belgique blanche, sioniste-compatible, pro-USA, sans remous, sans solidarité internationale. Ce qu’il veut, c’est qu’on se taise pendant que Gaza crève.
Mais on ne se taira pas.
Jean Spinette, camarade socialiste, bourgmestre de St-Gilles, si tu lis ces lignes, sache que l’ambiguïté n’est plus possible. Il n’y a plus de "oui, mais". Plus de "on condamne les deux côtés". Plus de "c’est compliqué". Soit tu marches avec le peuple palestinien, soit tu es complice du massacre. Soit tu cries «From the river to the sea, Palestine will be free», soit tu acceptes que Gaza devienne une fosse commune.
Il faut maintenant dénoncer publiquement l’ambassadrice, condamner le MR pour sa collaboration active avec l’apartheid, refuser de participer à toute conférence, à toute cérémonie, à toute table ronde où des représentants de l’État colonial israélien sont présents. Il faut boycotter Israël, militer pour des sanctions, soutenir la résistance palestinienne — toute la résistance, celle qui s’exprime dans les manifestations, dans la musique, dans les armes, dans les larmes.
Ce qu’on a vu place Bethléem, c’est Gaza. Ce qu’on vit en Belgique, c’est l’impunité des colons
La performance bruxelloise n’était pas une provocation. C’était un cri de survie. Une tentative de dire avec des corps ce que les médias refusent de montrer. Une manière de rappeler que chaque jour, des dizaines d’enfants sont enterrés vivants sous les décombres, pendant qu’on débat ici de la «neutralité» du mot génocide.
L’histoire jugera. Et elle retiendra les noms de ceux qui ont résisté, comme elle retiendra les noms des collabos.
De la Belgique à Gaza: un seul mot d’ordre






À GLB, à l’ambassadrice, et à tous les larbins de l’ordre colonial: vous êtes les héritiers des complices de l’apartheid sud-africain. Vous êtes les relais de la guerre. Vous êtes les fossoyeurs du droit international. Vous êtes les ennemis de l’humanité. Et vous perdrez.
De la rivière à la mer, la Palestine sera libre!
Nordine Saïdi -
09.06.25
Commentaires