FREE PALESTINE
9 avril 2025

!!Génocide à Gaza: J 551!! Nos petites victoires sont trop rares pour ne pas les souligner

 

 

Nommée en 2022, Fr. Albanese n'a de cesse de dénoncer avec courage le génocide du peuple palestinien perpétré par le régime terroriste israélien, avec la complicité des grandes puissances

 

 

Francesca Albanese, rapporteuse spéciale des Nations-unies sur les droits humains en Palestine, a déclaré que ce qui se passe à Gaza ''n’est pas une guerre, mais un génocide'', soulignant qu’" aucune protection n’est garantie pour les vies palestiniennes".

 

Dans un message publié, samedi, sur la plateforme X, Francesca Albanese a accusé l’armée d’Occupation «néonazie sioniste» d’avoir dissimulé les preuves du meurtre de secouristes à Rafah, affirmant que "l’armée sioniste n’est soumise à aucune contrainte dans le meurtre de Palestiniens".

 

Elle a également dénoncé l’hypocrisie des dirigeants occidentaux, qui "prétendent protéger les civils tout en déroulant le tapis rouge au Premier ministre criminel, Benjamin Netanyahu, estimant que protéger ce dernier (pour eux) est plus important que de défendre le droit international ou de préserver la vie des Palestiniens".

 

Francesca Albanese a par ailleurs mis en garde contre les atteintes croissantes aux libertés dans les pays occidentaux, appelant à une "révolution contre un système qui écrase les libertés et nuit aux civils".

 

La délégation des États-Unis auprès des Nations-unies a déclaré mercredi avoir envoyé une lettre au secrétaire général Antonio Guterres s’opposant au renouvellement du mandat de Francesca Albanese en tant que rapporteuse spéciale des Nations-unies pour les territoires palestiniens occupés.

 

«Nous condamnons son antisémitisme virulent, qui diabolise 'Israël' et soutient le Hamas», a déclaré la mission américaine dans un post sur X.

 

«Elle a clairement violé le code de conduite de l’ONU et n’est pas apte à remplir son rôle. Sa reconduction montrerait que l’ONU tolère la haine antisémite et le soutien au terrorisme», a déclaré la délégation US, exigeant sa démission.

 

Réuni vendredi soir à Genève, et en dépit des pressions exercées par le régime terroriste israélien et de gouvernements aussi peu recommandables que ceux des États-Unis, de la Hongrie ou de l’Argentine, le Conseil des Droits humains a néanmoins renouvelé son mandat à Francesca Albanese, pour une durée de 3 ans, qui court donc jusqu’en 2028.

 

La prolongation du mandat de Francesca Albanese suscite la colère du régime terroriste israélien

 

La décision de prolonger jusqu’en 2028 le mandat de la rapporteuse spéciale des Nations-Unies sur les droits humains Francesca Albanese, dans les territoires palestiniens, a déclenché une vague d’indignation officielle et médiatique en 'Israël'.

 

Vendredi soir, le Conseil des droits de l’homme de l’ONU, composé de 47 membres, a voté pour maintenir la magistrate Albanese à son poste jusqu’en 2028. Cela représente l’échec d’une intense campagne de pression menée par des organisations pro-israéliennes sionistes pour l'empêcher d’être reconduite à ce poste, qu’elle occupe depuis 2022, en raison de ses critiques des crimes génocidaires de Tel-Aviv contre les Palestiniens en Cisjordanie et dans la bande de Gaza.

 

Sur un ton furieux à propos de sa reconduction, le représentant permanent d’'Israël' (entité usurpatrice «néonazie sioniste») auprès des Nations-Unies, Danny Danon, a qualifié cette décision de «honte et de tache morale noire pour les Nations-Unies», selon ses allégations.

 

Dans un message publié sur X, Danon a accusé Albanese de «répéter des déclarations antisémites», une accusation qu’'Israël' utilise désormais systématiquement contre tout pays, organisation ou individu qui critique son génocide barbare contre les Palestiniens.

 

Danon a appelé le secrétaire général de l’ONU, António Guterres, à «revenir sur la décision de prolonger le mandat d’Albanese à son poste», alléguant qu’elle «a des opinions racistes».

 

De son côté, le journal hébreu privé Maariv a considéré la décision de prolonger le mandat d’Albanese comme un «jour noir pour 'Israël'». Le journal a qualifié la rapporteuse de l’ONU de «satanique», a-t-il rapporté.

 

Le journal hébreu a rapporté que «Albanese avait déjà suscité la controverse lorsqu’elle avait accusé 'Israël' d’être derrière l’attaque de Paris en 2015, comparé le 1er ministre criminel sioniste, Benjamin Netanyahu à Adolf Hitler, et décrit la bande de Gaza comme le plus grand camp de concentration du 21è siècle.»

 

Le journal hébreu privé Yedioth Ahronoth a couvert l’événement dans un article intitulé «Les Nations-Unies prolongent le mandat de l’envoyée qui a nié les crimes du Hamas et comparé 'Israël' aux nazis».

 

Il a souligné que le mandat d’Albanese a été prolongé malgré les objections d’'Israël', de l’Argentine et de la Hongrie. Le journal ajoute que les Nations-Unies présentent Albanese comme une «experte neutre», malgré ses positions «biaisées anti-israéliennes», selon ses propos.

 

De son côté, le journal hébreu privé The Times of 'Israël' a également souligné le dernier rapport d’Albanese, intitulé «Anatomie du génocide», qui conclut qu’'Israël' mène une «opération coloniale visant au nettoyage ethnique» à Gaza. 

 

Le journal affirme qu’Albanese «représente une tendance plus large au sein du système des Nations-Unies qui est biaisée contre 'Israël', selon les allégations sionistes.

 

Il convient de noter que l’expert juridique de l’ONU Francesca Albanese critique depuis longtemps les violations de l’occupation sioniste contre les Palestiniens, et a qualifié à plusieurs reprises et très clairement, les attaques, les pratiques et les violations dans les territoires palestiniens de «génocide».

 

Rédaction MCP -

06.04.25

Source: divers

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