!!Génocide à Gaza: J 471!! Lentement mais sûrement, l'étau se resserre autour des participants au génocide des Palestiniens
Il y a quelques jours, un mandat d'arrêt était lancé contre un soldat sioniste en vacance au Brésil. Mais le ministère israélien des Affaires étrangères a déclaré dimanche que l’ambassade d’'Israël' à Brasilia et lui-même avaient aidé l’homme à fuir le pays avant que les autorités brésiliennes ne parviennent à l’arrêter.
Maintenant, les noms de plus de 1.000 soldats israéliens ont été envoyés à la Cour pénale internationale (CPI) par la Fondation Hind Rajab, une organisation de défense des droits de l’homme basée à Bruxelles, ont rapporté les médias israéliens.
Selon le journal israélien de gauche Haaretz, la Fondation traque activement les soldats israéliens qui ont laissé des «empreintes numériques» lors de leurs opérations militaires à Gaza, au Liban et en Syrie.
«Tout au long de la guerre à Gaza, les soldats israéliens ont laissé derrière eux non seulement leurs empreintes physiques mais aussi leurs empreintes digitales numériques, et nombre d’entre eux ont publié des vidéos et des photos d’eux-mêmes en ligne – et ont parfois enregistré des comportements inappropriés et des crimes de guerre potentiels», écrit Haaretz.
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La Fondation Hind Rajab a notamment déposé une plainte auprès de la Cour pénale internationale contre le général de division israélien Ghassan Alian, chef du Coordonnateur des activités gouvernementales dans les territoires (COGAT) de l’armée.
La fondation a exigé que les autorités italiennes arrêtent immédiatement Alian, qui réside secrètement à Rome, pour avoir commis des crimes de guerre dans la bande de Gaza.
La Fondation a été créée l’année dernière en mémoire de Hind Rajab, une fillette de 5 ans tuée par une frappe aérienne israélienne qui visait un véhicule abritant sa famille dans le quartier de Tel al-Hawa à Gaza. Elle vise à remettre en question l’impunité d’Israël.
L’organisation est dirigée par des militants comme Diab Abu Jahjah et Karim Hassoun, qui vivent à Bruxelles.
«Cette action pourrait devenir l’une des plus grandes affaires jamais réunies devant la CPI», estime le quotidien israélien.
«Les responsables du ministère israélien des Affaires étrangères – qui, tout comme le ministère de la Justice, n’ont pas fait de commentaires à cet article – n’ont pas de plan, exhortant les soldats à quitter rapidement le pays avant qu’ils ne soient arrêtés», commente Haaretz.
Et ne pas pouvoir aller se vider la tête au soleil, dans des pays, «exotiques», après avoir massacré femmes et enfants, comme ils le font constamment quand il ne sont pas «sur le terrain», n’est pas une bonne nouvelle pour les soldats israéliens…
Rédaction Europalestine -
13.01.25
Source: europalestine.com