
Le 1er janvier 2018, le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu annonçait la mise en œuvre d’un plan d’expulsion massif des migrants érythréens et soudanais. 20000 hommes seuls étaient concernés. Le gouvernement leur imposait un choix douloureux : aller en prison pour une durée indéfinie, ou accepter 3500 dollars et être expulsé vers un « pays tiers sûr », dont il n’a jamais dévoilé le nom. Les ONG et les migrants pointaient du doigt le Rwanda et l’Ouganda en tant que signataires d’un accord secret avec...
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