FREE PALESTINE
29 septembre 2016

recommandation sur le retrait du Hamas de la liste des organisations terroristes

L’avocat général de la Cour de Justice de l’U.E. recommande le retrait du Hamas de la liste des organisations terroristes

L’avocat général de la Cour de Justice de l’Union Européenne (CJUE) [1]  a estimé que l’inscription du Hamas sur la liste européenne des organisations terroristes ne repose pas sur des bases sérieuses, mais sur “des informations trouvées sur internet” (où on sait que des agents d’influence payés par Israël à coup de millions de dollars sont très actifs). Le Hamas, tout comme d’ailleurs les “Tigres tamouls” (groupe rebelle sri lankais), devrait donc être retiré de cette liste, où son inscription a été entachée de vices de procédure, selon l’avocat général.

hamas-e-israel-negociam-no-cairoTandis qu’elle continue à arroser en abondance Israël et ses industries militaires de ses bienfaits, l’UE a imposé des gels d’avoirs et des interdictions de voyager au Hamas et au mouvement des Tigres de libération de l’Îlam Tamoul (LTTE) en vertu des règles établies après les attentats du 11 septembre 2001 aux États-Unis. Les deux groupes avaient par la suite contesté leur présence sur la liste terroriste de l’UE.

Le Tribunal de l’UE avait tranché en leur faveur en première instance en 2014, au motif que ces mesures “étaient fondées non pas sur des actes examinés et confirmés par des décisions prises par des autorités compétentes (comme cela est requis par la position commune et la jurisprudence), mais sur des imputations factuelles que le Conseil avait tirées lui-même de la presse et d’Internet”.

Reprochant au Tribunal d’avoir “mal évalué l’utilisation des informations relevant du domaine public et de ne pas avoir décidé que l’inscription sur la liste pouvait s’appuyer sur une ordonnance du Royaume-Uni de 2001 qualifiant les LTTE et le Hamas d’organisations terroristes”, le Conseil européen des 28 États membres a fait appel de cette décision, de sorte que le dossier revient cette fois devant la CJUE. Dans le pourvoi visant l’affaire du Hamas, le Conseil estimait également que le Tribunal “aurait dû conclure que les décisions des autorités américaines constituaient un fondement suffisant pour inscrire le Hamas sur la liste”.

L’avocate générale de la Cour de justice, Eleanor Sharpston, estime au contraire, dans les conclusions qu’elle a déposées, que “le Conseil [européen] doit s’assurer que les décisions des autorités d’un État tiers sont prises dans un contexte où la protection offerte par les droits fondamentaux atteint un niveau au moins équivalent à celui qu’offre le droit de l’Union. Elle relève que, contrairement aux décisions des autorités compétentes des États membres qui peuvent bénéficier (sauf circonstances exceptionnelles) d’une présomption générale de conformité aux droits fondamentaux en cause, les autorités compétentes des États tiers ne sont pas soumises aux mêmes impératifs. Rien ne permet dès lors de supposer que le niveau de protection est au moins équivalent à celui qui prévaut en droit de l’Union. Le Conseil doit donc indiquer clairement pour quelle raison, dans une affaire impliquant une décision individuelle d’une autorité compétente, l’ordre juridique de l’État tiers offre un niveau de protection équivalent, et ce, en ce qui concerne au moins les droits de la défense et le droit à un recours juridictionnel effectif.” Qui plus est, “le Conseil ne peut pas s’appuyer sur une décision d’une autorité compétente sans connaître les véritables raisons sur lesquelles cette décision est basée”.

En clair : les décisions des États-Unis post-11 septembre n’offrent pas à priori les garanties suffisantes en matière de respect des droits humains et individuels, il faut le démontrer.

En outre, “dans ces circonstances, le Conseil ne pouvait pas évoquer une série d’attaques terroristes qui ne figuraient pas dans les décisions des autorités compétentes”.  L’avocat général conclut aussi que, pour maintenir une personne ou un groupe sur une liste, le Conseil ne peut pas se fonder sur des « faits » et éléments de preuve provenant non pas de décisions d’autorités compétentes, mais d’articles de presse ou de l’Internet.

En conséquence, la Cour de justice « devrait annuler les mesures de maintien du Hamas et des LTTE sur la liste des organisations terroristes pour des raisons de procédure de l’UE. ». Décision à une date indéterminée…

L.D.


Le communiqué officiel relatif à cette prise de position de l’avocat général de la CJUE peut être consulté ICI

[1] à ne confondre ni avec la Cour Européenne des Droits de l’Homme (CEDH), qui est une institution du Conseil de l’Europe, ni avec la Cour Pénale Internationale instituée par le “Statut de Rome”, le Tribunal de l’Union Européenne et la Cour de Justice de l’Union Européenne ont pour mission de “veiller à ce que la législation de l’UE soit interprétée et appliquée de la même manière dans tous les pays de l’UE; garantir que les pays et les institutions de l’UE respectent la législation européenne”. Après une décision du Tribunal, la Cour de justice peut être saisie d’un pourvoi, limité aux questions de droit. Si la Cour annule la décision initiale, elle peut soit trancher elle-même définitivement soit renvoyer l’affaire au Tribunal, qui doit alors statuer à nouveau dans le cadre que la Cour a fixé.

 

Rien d'autre que la levée totale du blocus de Gaza... - FREE PALESTINE

Rien d'autre que la levée totale du blocus Il est quasiment impossible pour les Palestiniens de sortir de Gaza, que ce soit pour recevoir des soins médicaux ou pour d'autres raisons (visite à des proches parents, aller à l'université ou travailler).

http://mcpalestine.canalblog.com


Rien d’autre que la levée totale du blocus de Gaza…

Décrétée "entité hostile" par Israël, la Bande de Gaza subit depuis juin 2007 un blocus quasi total.

Le gouvernement israélien a annoncé qu’il laisserait désormais passer à Gaza toutes les marchandises ne figurant pas sur une liste de produits interdits.

Autrement dit un allègement du blocus, qui permettrait d’acheminer davantage de « biens civils » vers ce territoire appauvri où quatre personnes sur cinq dépendent de l’aide internationale.

Il est quasiment impossible pour les Palestiniens de sortir de Gaza, que ce soit pour recevoir des soins médicaux ou pour d’autres raisons (visite à des proches parents, aller à l’université ou travailler).

Les mesures limitant l’entrée de biens civils ainsi que la liberté de mouvement de la population et interdisant presque totalement les exportations visent les civils dans leur ensemble sans distinction, ce qui représente une punition collective contre une population occupée et constitue dès lors un acte illégal aux yeux du Droit international.

Les habitants ne reçoivent presque aucun produit de première nécessité. Les médicaments, les carburants, les aliments, plus rien ne passe. Les stations de pompage d'eau ou de production d'électricité, les hôpitaux, les maternités, les écoles, et d'une façon générale tous les services les plus indispensables à la vie quotidienne sont bloqués. La ville de Gaza, est régulièrement plongée dans le noir suite à l'arrêt forcé de l’unique centrale électrique bombardée lors de la guerre de l’hiver 2008-2009, sous l’appellation « Plomb durci ».

L'agriculture, secteur vital de l'économie locale, est réduite à néant par les interdictions d'exporter et par les pénuries de matières premières nécessaires aux exploitations agricoles. Le secteur de la pêche est aussi paralysé. Tous les programmes de reconstruction, y compris ceux des Nations unies (réaménagement du réseau routier et de la voirie, reconstructions d'hôpitaux et d'établissements scolaires, etc) sont stoppés. Plusieurs centaines de médicaments de base manquent dans les dispensaires.

Les services municipaux d'hygiène (adductions d'eau, égoûts, traitement des déchets, ramassage des ordures, etc) sont hors service faute d'électricité, de carburants et de pièces de rechange.

Faut-il rappeler que les journalistes ou parlementaires étrangers souhaitant se rendre compte de la situation dans la Bande de Gaza, sont tout simplement refoulés par Israël ?

Cette situation est intolérable, dramatique et inhumaine. Pourtant la Communauté internationale brille par son inertie et son silence.

La décision israélienne d’élargir la liste des biens entrant à Gaza est vide de sens et ne constitue pas un véritable changement dans sa position sur la levée du blocus imposé depuis trois ans.

Cette annonce d’un allègement du blocus indique clairement qu’Israël n’a pas l’intention de mettre fin à la punition collective infligée à la population civile de Gaza, mais cherche à calmer l’indignation mondiale que sa dernière opération meurtrière contre la flottille humanitaire a provoquée. C’est de la poudre aux yeux, et cela ne convient donc pas.

Des millions de citoyens européens ne peuvent plus tolérer ni les crimes sionistes, et encore moins qu’ils ne fassent l’objet de la moindre condamnation de leurs responsables politiques.

De par leur inertie et leur silence, les représentants de la communauté internationale se rendent complices de crimes qualifiés de « génocidaires » par Richard Falk lui-même, et ce avant même que les opérations meurtrières israéliennes aient débuté.

Le Peuple Palestinien, ne fait pas l’aumône et ne demande pas une augmentation de la quantité de marchandises entrant à Gaza mais la levée totale et véritable du blocus, y compris l’ouverture de tous les points de passage, la garantie de la liberté de mouvement des habitants et l’entrée de tous les biens, en particulier les matériaux industriels et de construction.

Tous les besoins de Gaza doivent être satisfaits, y compris en électricité et en carburant, ainsi que la levée de toutes les restrictions bancaires, ce que la décision israélienne ne prévoit pas et qui signifie dès lors que le blocus est toujours en vigueur.

Le peuple Palestinien ne demande rien d’autre que la JUSTICE.

L'atrocité du blocus de la Bande de Gaza est justifiée par la campagne de «diabolisation» du HAMAS afin de légitimer un autre parti, le Fatah, qui n’a pas été choisi par le peuple palestinien.

Qu’on le veuille ou non, le Hamas est un parti politique qui a un écho certain auprès du peuple palestinien. Pourquoi serait-il considéré comme mouvement terroriste ?

Ses actions, si elles sont estimées comme étant condamnables par Israël et la Communauté Internationale, ne le sont certainement pas moins que celles commises par Israël mais totalement passées sous silence par cette même Communauté Internationale.

Le Hamas doit donc être respecté en tant que parti politique élu par le peuple palestinien, et être reconnu comme interlocuteur au même titre qu’un autre pour représenter son peuple.

Force est de constater qu’Israël, les Etats Unis et l’Union Européenne veulent choisir leurs interlocuteurs. Il doit être mis un terme à cette stratégie.

Je vous invite donc à signer et faire signer la pétition pour le retrait du Hamas de la liste européenne des organisations terroristes !

Cette pétition est signée par de nombreuses personnalités dont Jean BRICMONT, Henri ALLEG, Daniel BENSAÏD, Houria BOUTELDJA, Raoul Marc JENNAR, Mairead MAGUIRE, Jose SARAMAGO, Tariq RAMADAN, Greta BERLIN, François HOUTART, Norman G.FINKELSTEIN, Michel WARSCHAWSKI… et vous ?!

 http://www.recogniseresistance.net/

 

 

Solidairement,

Nordine Saïdi

Mouvement Citoyen Palestine

Nordine Saïdi    

Saturday, 25 April 2009 07:58

Je signe cet appel sans hésiter car le mode d'élaboration de cette liste des organisations terroristes n’a aucune légitimité. En effet, cette liste reproduit la règle des deux poids-deux mesures qu'il convient de dénoncer fermement. Les institutions européennes et encore moins le gouvernement US n’ont pas de leçon à donner en matière de démocratie.
Le peuple palestinien a été chassé de sa terre en 1948 et la naissance de l’Etat soniste n'est que le résultat d'une opération de nettoyage ethnique.

Cela fait plus de soixante ans que des centaines de milliers de Palestiniens vivent dans des camps de réfugiés alors même qu'une résolution de l’ONU leur garantit formellement le droit au retour sur leur terre.
L’Etat d'Israël n'a respecté et ne respecte aucune des résolutions du Conseil de Sécurité de l'ONU qui le concernent; et depuis plus de 60 ans, cet Etat commet et continue de commettre à l'égard du peuple palestinien des actes que l’on peut qualifier incontestablement de crimes de guerre et de crimes contre l'humanité.

Par ailleurs, non seulement le Hamas a gagné les élections démocratiques de 2006 sous l’œil bienveillant d’observateurs internationaux mais le droit international reconnaît explicitement le droit à la résistance des peuples colonisés. Ce droit est prévu par la Résolution 2621 XXV du 12.10.70 des Nations Unies, confortée par l’article 1er § 4 du premier protocole additionnel de Genève (08.06.77).
Comme le disait Malcolm X : "Il est criminel d'apprendre à un homme qui est la  VICTIME CONSTANTE de brimades et d'attaques de ne pas se défendre" . Pas de paix sans justice!
Enfin, si  une liste des organisations terroristes doit exister, pour qu'elle soit crédible aux yeux des citoyens de ce monde, elle devrait comporter en premier lieu les Etats et organisations qui pratiquent le terrorisme d'Etat à grande échelle. (USA, OTAN, Israël,… )

Saïdi Nordine.
Mouvement Citoyen Palestine et tête de liste Egalité.

(Engl) I sign this call without any hesitation because the way this list of the terrorist organizations has been elaborated has no legitimacy. Indeed, this list reproduces the rule of double standards which must be firmly denounced. The European institutions and even less the US government have no lesson to give about democracy. The Palestinian people has been chased away from its land in 1948 and the establishment of the Zionist State results from an operation of ethnic cleaning. It has been more than sixty years since hundreds of thousand Palestinians have lived in refugee camps even when a resolution of the UNO guarantees them formally the right to return on its land.

The State of Israel has respected and respects none of the resolutions of the UN Security Council related to it; and since more than 60 years, this State commits and goes on committing, towards the Palestinian people, actions that can be undeniably considered as war crimes and crimes against humanity. Besides, not only Hamas won the democratic elections in 2006, under the friendly eyes of international observers, but the international law recognizes explicitly to colonized people the right to resist. This right is granted by the UN Resolution 2621 XXV of 12.10.70, consolidated by the 1st article § 4 of the additional protocol of Geneva (08.06.77).

As said Malcolm X: "It is criminal to teach a man who is the CONSTANT VICTIM of raggings and attacks not to defend himself". No peace without justice!

Finally, if a list of the terrorist organizations has to exist, in order to be credible in the eyes of the citizens of this world, it should first of all include the States and organizations which practise a large-scale State terror (USA, NATO, Israël...).

Pour le retrait du Hamas de la liste européenne des organisations terroristes !

Le Mouvement Citoyen Palestine, par la signature de son porte-parole, Nordine Saïdi , est partie prenante de cet appel. De nombreuses personnalités européennes et internationales l’ont déja signé parmi lesquelles : François Houtart (professeur émérite de l’Université catholique de Louvain), Jean Bricmont (physicien), Mairead Maguire (prix Nobel de la Paix ), Jose Saramago (écrivain), Gilad Atzmon (artiste de jazz et écrivain), Tariq Ramadan (professor, Oxford/Erasmus Universities), Tariq Ali (écrivain), James Petras (Bartle professor emeritus Binghamton University), Nadia Yassine (fondatrice de la section féminine du mouvement Justice et Spiritualité), Saïd Bouamama (sociologue), Alima Boumediene Thiery (sénatrice)...Voir des premiers signataires ci-joint.

A l’occasion des élections européennes de juin 2009, nous adressons un appel urgent à tous les candidats aux 736 sièges du Parlement européen.

Nous leur demandons de s’engager à obtenir le retrait immédiat et inconditionnel du Hamas et de toutes les organisations de libération palestiniennes de la liste européenne des organisations terroristes.

Nous demandons que l’Union européenne reconnaisse le droit à l’autodétermination du peuple palestinien. Cela implique la reconnaissance du Hamas par l’Union européenne comme un mouvement légitime de libération nationale.

Bruxelles, 1er février 2009

POUR ENVOYER VOS SIGNATURES, ECRIVEZ A L’ADRESSE SUIVANTE : vervaetluk@gmail.com

Premiers signataires :

(liste au 22.02.2009)

Allemagne

Jürgen Elsässer (journalist, Berlin, Germany), Jonas Feller (Anti-imperialist activist and high school student Rostock), Karsli Jamal (FAKT-Party, Germany), Klaus von Raussendorff (journalist and anti-imperialist activist, Germany), Djamila Krebs ( membre d’Europalestine Allemagne),

Autriche

Leo Gabriel (journalist and social anthropologist, member of the council of the World Social Forum, Austria), Johann Schögler (Styrian Peace Platform, Austria), Wilhelm Langthaler (Anti-imperialist Camp), Werner Pirker (journalist), Peter Melvyn (Jewish voices for a just peace in the Middle East), Hannes Hofbauer (publisher and publicist), Waltraud Schauer (former human shield in Iraq, Austria), Aleks Studen-Kirchner (author and interpreter, Austria), Milan Obid (chairman of the Slovene Students Club Vienna, Austria), Hermann Dworczak (social scientist, trade unionist, Austria), Wilfried Bader (local counsellor Angerberg, Tirol, Austria), Dipl. Ing. Marion Artlieb (computer scientist, Austria), Gerhard Oberkofler (University professor, Vice president of the Association Alfred Klahr, Innsbruck, Austria)

Belgique

François Houtart (professeur émérite de l’Université catholique de Louvain), Tom Lanoye (auteur), Jean Bricmont (physicien), Pol Goossens (journaliste), Ludo Abicht, Amir Haberkorn, Ouardia Derriche (membre de l’Association Belgique-Palestine), Ida Dequeecker (féministe), Robbe De Hert (cinéaste), Eric Goeman (woordvoerder Attac Vlaanderen), Nadine Rosa-Rosso (enseignante et auteur), Nadia Fadil (sociologue), Remi Verwimp (coördinator Werkplaats voor Theologie en Maatschappiij), Paul Delmotte (professeur IHECS), André Posman, (eredocent actualiteit Sint Lucasinstituut Gent, lic. Geschiedenis. Dir Concertreeksen DE Rode Pomp Gent), Luk Vervaet (président section belge IUPFP), Dyab Abou Jahjah (activiste, Belgique-Liban), Herman De Ley (emeritus professor, Universiteit Gent), Frank Roels, (MD, emeritus professor UGent, België), Gie van den Berghe (professor Universiteit Gent, ethicus en historicus), Ludo de Witte (auteur), Eric Rosseel (gepensioneerd docent psychologie VUB), Liliane Plouvier (Professeur de droit international Bruxelles), Elke Vandeperre ( coördinator vzw Motief), Michel Collon (écrivain et journaliste), Greta Alegre (cinéaste, Artistes contre le Mur), Francis Jorissen (webmaster Attac Vlaanderen, België), René Los (bestuurder), Sarah Bracke (feministe & professor KULeuven), Erik Swyngedouw (Professor of Geography School of Environment and Development Manchester University), Isabelle Ponet, enseignante retraitée, Renée Mousset (Association Belgique-Palestine Liège) ; Jean Marc Turine (écrivain), Malika Hamidi (doctorante EHESS à Paris), Paul Vanden Bavière (journaliste et historien), Ludo De Brabander (Stafmedewerker vzw Vrede), Yacob MAHI, Enseignant, Théologien, Dr. en Histoire et Sciences des Religions, Conférencier, Saïdi Nordine ( Mouvement Citoyen Palestine )

Espagne

Ángeles Maestro Martín (mèdica especialista en salud pública, Estado español), Carlo Frabetti (écrivain, État espagnol), Irene Amador (antropológue, État espagnol), Carlos Tena (periodista), Vicente Romano (professeur d’université, État espagnol), Gloria Pérez Berrocal (programmatrice de télévision, État espagnol), Alessandra Caporale, (social anthropologist, university lecturer Barcelona), Manuel Talens (écrivain, Espagne), Antonio Maira (Politólogo. Redactor Diario digital inSurGente), Anna Raventós Barangé (PhD Senior Lecturer Faculty of Arts and Letters University of Seville, Spain)

France

Saïd Bouamama (sociologue), Houria Bouteldja (Porte-parole du Mouvement des Indigènes de la République), Raoul Marc Jennar (consultant en relations internationales), Alima Boumediene Thiery (sénatrice), Christine Delphy (Fondatrice et directrice de la revue NQF) / France"Viktor Dedaj (cyber-journaliste), Roland Diagne (enseignant en France, militant communiste marxiste-léniniste), Annie Lacroix-Riz (professeur d’histoire contemporaine, université Paris 7), Eric Colonna (citoyen engagé Lyon), Danielle Bleitrach (sociologue et écrivain), Jean-François Larosière (responsable syndical et associatif), Catherine Stern (enseignante d’Histoire à la retraite, ancienne chargée de cours à Paris), Philippe Révelli (jounaliste), Sophie Crêtaux (France, ex-chercheur au CNRS, agrégée d’histoire), Mireille Rumeau (militante politique, France), Youssef Girard (étudiant), Marie-Elise Akel, Abdelaziz Chaambi (militant associatif), Micheline Garreau (militante ISM, France), Alain Bruguier (infirmier libéral), Radouane Belahrache (Nîmes), Olivia Zémor (présidente de CAPJPO-EuroPalestine et responsable du site europalestine.com), Mohamed ZAAF, chirurgien et conseiller municipal (911510), Monique de Lope, ( professeur émérite à l’Université de Provence), Alain Bruguier alain infirmier libéral, vice président de l’afps de nimes dans le gard en france), Laure LAHAYE, Chargée de collections en arabe à la Bibliothèque nationale de France, Conseillère de quartier, Paris., Youssef Boussoumah (Mouvement des Indigènes de la République), Sadri Khiari (Mouvement des Indigènes de la République).

Grèce

Gella Varnava-Skoura (professeur en sciences de l’éducation à l’Université d’Athènes), Yiannis Sifakakis (Stop the war Coalition-Greece), Petros Constantinou (Campain Genoa 2001) Greece

Hongrie

Szamosfalvi Albert (artiste peintre Hongrie),

Irlande

Mairead Maguire (prix Nobel de la Paix), Danny Morrison (writer, Ireland)

Italie

Giulietto Chiesa (parlamentare europeo e giornalista), Lucio Manisco (giornalista ed ex parlamentare europeo), Gianni Vattimo (Filosofo ed ex parlamentare europeo), Margherita Hack (Astrofisica), Domenico Losurdo (Direttore Istituto Scienze filosofiche, università di Urbino), ), Danilo Zolo (Docente di Filosofia del Diritto internazionale, università di Firenze), Mary Rizzo (co-Editor of Palestine Think Tank and co-founders of Tlaxcala, Dr. Art Historian and Art Restorer), Prof.Massimo De Santi (Presidente Comitato Internazionale di Educazione per la Pace - ITALIA), Prof.ssa Giovanna Pagani (Presidente On. Wilpf Italia -Lega Internazionale delle Donne per la Pace e la Libertà - ITALIA), Dr.ssa Rosa Ayala Sosa (CIEP - ITALIA, Paola Manduca (geneticist Italy), Moreno Pasquinelli (Campo Antiimperialista), Dr. Mohamed Nour Dachan (Unione delle Comunità ed organizzazioni Islamiche in Italia), Elsa Verlicchi (Anthropologist, Rome, Italy), Miguel Martinez (website http://www.kelebekler.com/, Italy), Giulio Bonali (Italia)

Pays-Bas

Abdou Bouzerda (président Arab European League), Mohammed Benzakour (écrivain et journaliste), Robert Soeterik (antropoloog, Middle East Research Associates, Nederland), Miriyam Aouragh (co-organizer Dutch antiwar and antiracism campaign, initiator of the national demonstration for Gaza in Amsterdam, Research Fellow at Oxford University, UK)

Portugal

Jose Saramago (écrivain), Miguel Urbano (écrivain)

Roumanie

Alexandru Polgar (philosophe, éditeur de la revue Idea)

Royaume-Uni

Gilad Atzmon (artiste de jazz et écrivain), Tariq Ramadan (professor, Oxford/Erasmus Universities), Tariq Ali (writer, film-maker and editor of New Left Review), Sukant Chandan (Chair, English branch of the IUPFP), Estella Schmid (Kurdistan Solidarity Committee & CAMPACC, UK), John Hutnyk (Professor of Cultural Studies, Academic Director of CCS Goldsmiths University of London), Zaki El-Salahi (Masters student, Edinburgh, Scotland), Jon Kehoe (artist, London), Naima Bouteldja (Journalist, England), Robin Virgin (Pluto Press, England), David Halpin (FRCS Standing in solidarity with the Palestinian people,UK), Brenda Brown (Chair, Brighton & Hove Palestine Solidarity Campaign, England), Mathis Richet (Musician, England), Marishka Tharani (Actress, England), Mark Barrett (civil liberties campaigner, London, England), James House (maitre de conferences à l’Université de Leeds),

Suède

Jan Myrdal (écrivain), Lasse Wilhelmson (teacher, Sweden)

Hors UE

USA

Greta Berlin (co-fondatrice Free Gaza Movment), James Petras (Bartle professor emeritus Binghamton University), John Catalinotto (managing editor, Workers World Newspaper, USA), Sara Flounders (co-director, International Action Center, USA), Emory Douglas (Former Minister of Culture of The Black Panther Party, USA), Dr Julio Pino ( professor of history), Dumas F. Lafontant Doumafis, (Organizer, African Liberation Day), Sebogo Bernard Nkumah (Chairperson of Boston Branch, All African People’s Revolutionary Party)

Suisse

Sivia Cattori (journaliste), Franz Fischer (Partei der Arbeit der Schweiz, Trade Union UNIA, Palestine Solidarity Committee Basel), Franco Cavalli (oncologist and president of the International Union of Cancer (IUCC), founder of Medicuba, Switzerland), Daniel Vischer (MP of the Green Party, Switzerland), George A. Kouchakji (Palestine Solidarity Basel, Switzerland), Nabil Sheikh Khalil,(Association to Support Palestinians in Need, Switzerland)

Canada

Tim Louis (former Vancouver City Councillor), Ivan Drury (member of Vancouver Socialist Forum, contributing editor of Socialist Voice)

Brésil

Virginia Fontes (historienne, Rio de Janeiro), Augusto Boal (homme de théâtre)

Venezuela

Thierry Deronne (vice-président télévision publique Vive TV République bolivarienne du Venezuela), Durand Benjamin, (professeur de cinéma et télévision Venezuela Caracas)

Syrie

Prof Dr Georges Jabbour (President UN Association of Syria, Independent Expert Human Rights Council, 2002-2008 Former Presidential Adviser and Member of Par ;iament)

Liban

Mohammad Kassem (Beirut International Forum For Resistance , Anti Imperialist , People’s Solidarity and Alternatives).

Afrique du Sud

Buti Manamela (National Secretary Young Communist League of South Africa), Andre Zaaiman (Researcher, South Africa), Ronnie Kasrils (former South African government minister ; writer and activist, South Africa)

Maroc

Abdelwahed El Moutawakil (Secrétaire général du cercle politique du mouvement Justice et Spiritualité), Nadia Yassine (fondatrice de la section féminine du mouvement Justice et Spiritualité), Fathallah Arsalan (porte parole du mouvement Justice et Spiritualité), Omar Amkassou (membre du conseil d’orientation du mouvement Justice et Spiritualité), Mohammed El Hamdaoui (membre du conseil d’orientation du mouvement Justice et Spiritualité), Batoul Bicha (enseignante), Mouna khalifi (membre du secrétariat général du cercle politique (mouvement justice et spiritualité) , Abdessamad Fathi (coordinateur du comité marocain du soutien aux causes de la Nation), Ghizlain Bahraoui (membre du secrétariat général du cercle politique (mouvement justice et spiritualité), Mohammed Salmi (Responsable du comité des droits de l’Homme (mouvement justice et spiritualité), Najia Rahmani, (chercheuse), Mohammed Manar (chercheur), Aziza Sakhraji (enseignante chercheuse), Hassan Bennajeh (responsable de la jeunesse du mouvement justice et spiritualité), Fatima Kassid (membre du secrétariat général du cercle politique (mouvement justice et spiritualité), Omar Iharchane (chercheur), Merieme Yafout (Responsable de la section féminine du mouvement Justice et Spiritualité), Abdallah Chibani (membre du secrétariat général du cercle politique (mouvement justice et spiritualité), Mustapha Erriq (responsable du secteur syndical du mouvement justice et spiritualité, Abdellah Bella (enseignant Maroc)

Cuba/Mexico

Ángel Guerra Cabrera (periodista y académico, Cuba/México)

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