Urgent Action Required : 5 Palestinian Prisoners are at risk,
UFree Network: 5 Palestinian Prisoners are at risk, Urgent Action Required
Ufree Network, pour soutenir les droits des Palestiniens, a appelé à intensifier les efforts et les actions en solidarité avec les prisonniers Palestiniens qui font la grève de la faim dans les prisons israéliennes. L'action d'urgence est nécessaire pour sauver les vies de prisonniers palestiniens, dit l'organisation.
Ceci arrive alors que des prisonniers en grève, Samer Al Essawi and Ayman al Sharawna sont gravement malades dans une prison israélienne. Dans un appel téléphonique, Shereen Al Essawi, la soeur du prisonnier al Essawi a fait savoir que Ayman et Samer avaient été admis à l'hopital Asaf Hroviah le mardi 11/12/2012.
"Samer souffre de dystrophie musculaire et de dysfonctionnement du système nerveux depuis une semaine. Ceci est du à des évanouissements, à un faible pouls et des difficultés à respirer en plus de vomissements de sang et d'autres symptomes sérieux" a ajouté Shereen Al Essawi
Samer a été admis jeudi passé dans un hopital de Al Ramia. Mais il a refusé de prendre le traitement comme il faisait la grève de la faim.
Ayman al Sharawna, 36 ans, a habitant de Dora à Hebron, fait la grève de la faim depuis 165 jours alors que Samer, 33 ans, d'Essawa à Jerusalem est en grève depuis 136 jours. On dit que trois autres prisonniers palestiniens ont rejoint le mouvement , parmi lesquels Ja’far Izeldin, 41, et Traiq Qadan, 40, tous deux d'Araba dans le 'grand' Jenin. Le troisième prisonnier est Yousef Shaban Shafi’ Yasin, 29, du village de Anin, dans le grand Jenin.
Le président de UFree Network, Mohammad Hamdan, a fait part de son inquiétude en ce qui concerne la survie des prisonniers qui font la grève de la faim. Spon inquiétude vient du fait qu'il n'y a pas beaucoup de sensibilisation de ce cas. Hamdam a dit que la solidarité avec ces prisonniers devrait rencontrer leur sacrifice et leur douleur.
'C'est injuste de regarder des prisonniers palestiniens qui font la grève de la faim depuis des centaines de jours, c'est inexcusable de rester silencieux, ' dit Hamdam.
D'autre part, UFree Network a condamné l'invasion de l'armée d'occupation israelienne, mardi matin, à Ramalla, qui avait pour cible un nombre d'organisations de la société civile comme Addameer Prisoner Support et Human Rights Association. UFree Network a suggéré qu'une telle prise d'assaut de ces locaux, que le sabotage et la confiscation des équipements fait partie de la campagne féroce qui cible les prisonniers, leurs familles et les organisations qui s'occupent d'eux.
Pour soutenir le combat des prisonniers palestiniens, UFree Network continue sa pétition internationale 'sauvez Ayman and Samer, liberté et justice pour les détenus palestiniens dans les prisons israéliennes'
Dès lors, Ufree appelle à soutenir les prisonniers en signant la pétition sur le site suivant:
http://www.ipetitions.com/petition/freedom-and-justice-for-palestinian-detainees-in/
Samer et Ayman sont gravement malades. Au point d’avoir été hospitalisés mardi à l’hopital Asaf Hroviah.
"Samer souffre de dystrophie musculaire et de dysfonctionnement du système nerveux depuis une semaine. Il a de nombreux évanouissements, un pouls très faible , des difficultés à respirer en plus de vomissements de sang", a fait savoir sa soeur Shereen Al Essawi.
Samer, 33 ans, d’Essawa à Jerusalem est en grève depuis 136 jours.
Ayman al Sharawna, 36 ans, habitant de Hebron, fait la grève de la faim depuis 165 jours .
Trois autres prisonniers palestiniens ont rejoint le mouvement. Parmi eux, Ja’far Izeldin, 41 ans, et Tariq Qadan, 40 ans, tous deux d’Araba à Jénine. Le troisième prisonnier est Yousef Shaban Shafi’ Yasin, 29 ans, du village de Anin, à Jénine.
Le soutien à ces prisonniers est urgent car leur lutte est emblématique des méthodes de l’occupant israélien. Et Israël craint plus que tout les manifestations de solidarité avec les prisonniers palestiniens, comme on l’a vu avec l’attaque cette semaine d’associations de défense des prisonniers palestiniens comme Addameer.
Ne restons pas passifs. Faisons passer l’information. Exigeons que ni nos dirigeants ni les firmes ne collaborent avec un Etat qui prend en otages des milliers de femmes, d’homme et d’enfants pour désespérer toute une population et s’emparer de ses terres.
Et parmi vos achats de Noël, pas un sou pour l’occupant israélien. Regardez bien les étiquettes. N’achetez pas de produits qui engraissent les criminels de guerre !
CAPJPO-EuroPalestine