Bonjour,
C'est avec une certaine émotion que je vous annonce qu'une plainte a été déposée ce matin, auprès du Procureur
fédéral,
contre les dirigeants israéliens et certains hauts responsables
militaires israéliens.
Plusieurs victimes palestiniennes, dont une a également la nationalité
belge
ont mandaté un groupe de 7 avocats afin de déposer cette plainte en
Belgique.
Elle dénonce certains faits commis lors de l'Opération Plomb durci, et
principalement:
1. le bombardement d'une mosquée à
l'heure de la prière (16 morts
civils et de nombreux blessés), le 3 janvier 2009
2. la destruction de terres agricoles
(verger et
oliviers), ainsi que d'un puits, le 5 janvier 2009. Cette terre et ce
puits ont été bombardés au
phosphore, détruisant entièrement la culture et rendant l'eau impure
pour
longtemps.
Nous avons déposé cette plainte du chef de
crime de guerre et de crime
contre
l'humanité.
Elle est largement documentée, par divers rapports d’ONG reconnues, ainsi que sur base du rapport Goldstone.
Il appartient désormais au Procureur
d'examiner la plainte, et s'il l'estime recevable, de charger un juge
d'instruction d'instruire le dossier.
Vous trouverez ci-joint un résumé de cette plainte, ainsi que le lien du
premier article publié sur le monde.fr
Nous nous tenons à votre disposition si vous avez des questions.
Bien à vous,
Hélène Crokart
helene.crokart@hotmail.com
Véronique Van der Plancke
v.vanderplancke@quartierdeslibertes.be
Bahia Zrikem
b.zrikem@quartierdeslibertes.be
Georges-Henri Beauthier
Alexis Deswaef
Belgique : Dépot d’une plainte contre 14 dirigeants israéliens
Publié le 23-06-2010
Deux avocats belges, Me Georges-Henri Beauthier et Alexis Deswaef,
ont annoncé, mercredi 23 juin, à Bruxelles, le dépôt d’une plainte pour
crimes contre l’humanité et crimes de guerre à l’encontre de 14
dirigeants politiques et militaires israéliens. Elle vise des actes
commis à la fin 2008 et au début 2009 à Gaza, lors de l’opération
militaire "Plomb durci".
(AP/David Silverman)
"La plainte cite, entre autres, Ehoud Olmert, Tzipi Livni et Ehoud Barak, respectivement premier ministre, ministre des affaires étrangères et ministre de la défense à l’époque des faits. Le vice-ministre de la défense et ancien général de Tsahal, Matan Vilnaï, est également cité, ainsi que divers hauts responsables de l’armée et des services de renseignement.
Agissant notamment pour le compte d’un médecin belge d’origine palestinienne, Anouar Rashid Saïd El-Okka et ses deux frères, dont les champs de fruits et d’oliviers ont été intentionnellement détruits et brûlés au phosphore, les deux avocats s’appuient sur les dispositions de loi belge en matière de compétence universelle.
Leur plainte vise aussi le bombardement de la mosquée Al-Maqadmah, à proximité du camp de réfugiés de Jabaliya. Seize civils, dont des enfants, avaient été tués lors d’une attaque censée viser des militants du Hamas. Les avocats belges représentent 13 victimes, blessées ou qui ont perdu un proche.
CRITÈRE DE "RATTACHEMENT"
Me Beauthier et Deswaef déposent au parquet fédéral belge un document très fouillé de 70 pages, reprenant, entre autres, les conclusions d’un rapport des Nations unies (la "mission Goldstone") sur les violences commises à Gaza. Il invite la justice belge à se saisir de leur plainte étant donné que "la Palestine n’étant pas reconnue comme Etat, son appareil judiciaire ne permet pas de telles poursuites".
Quant aux juridictions israéliennes, "elles ne présentent pas les qualités d’indépendance, d’impartialité et d’équité, telles qu’exigées par le droit international des droits de l’homme", note le texte.
Ce n’est pas la première fois que la justice belge est confrontée à une plainte concernant Israël. En 2001, des Palestiniens et des Libanais avaient tenté de faire juger l’ancien premier ministre Ariel Sharon pour les massacres des camps de Sabra et Chatila, en 1982. L’affaire avait tourné à l’incident diplomatique et la Belgique avait, dans la foulée, décidé de restreindre la portée de sa loi de compétence universelle. Celle-ci prévoit désormais un critère de "rattachement", à savoir l’implication directe d’un citoyen belge. Ce critère est rempli dans le cas présent, le docteur El-Okka possédant la nationalité belge.
Les biens que ce dernier possédait avec ses deux frères ont été entièrement dévastés, et son puits d’eau rendu inutilisable, alors que les cultures visées constituaient les seules ressources de sa famille, dans la région d’El-Zeytoun au sud-est de Gaza. Selon ses avocats, la région ne comportait aucun combattant palestinien et aucune arme n’y était stockée."
Jean-Pierre Stroobants
Dépôt à Bruxelles d'une plainte contre Israël pour crimes de guerre (23/06/2010) |
![]() |
En cause: des attaques dirigées contre des civils palestiniens et leurs biens, entre le 27 décembre 2008 et le 18 janvier 2009 BRUXELLES Un Belge
d'origine palestinienne porte plainte auprès du parquet à Bruxelles
contre des dirigeants politiques et militaires israéliens. Il les accuse
d'avoir violé le droit humanitaire international. En cause: des
attaques dirigées contre des civils palestiniens et leurs biens, entre
le 27 décembre 2008 et le 18 janvier 2009, dans le cadre de l'opération
"Plomb durci". Le plaignant, M. Anwar Rashid Said El Okka est rejoint
dans sa plainte par 13 Palestiniens qui ont été blessés lors d'une de
ces attaques.
© La Dernière Heure 2010 |
![]() | ||||
![]() | ||||
Cet article
provient du site http://www.dhnet.be
Dépôt à Bruxelles d'une plainte contre Israël pour crimes de guerre - - - - - - - - - - - Un Belge d'origine palestinienne porte plainte auprès du parquet à Bruxelles contre des dirigeants politiques et militaires israéliens. Il les accuse d'avoir violé le droit humanitaire international.
En cause: des attaques dirigées contre des civils palestiniens et leurs
biens, entre le 27 décembre 2008 et le 18 janvier 2009, dans le cadre
de l'opération "Plomb durci". Le plaignant, M. Anwar Rashid Said El
Okka est rejoint dans sa plainte par 13 Palestiniens qui ont été
blessés lors d'une de ces attaques.
Leurs avocats, dont Me Georges-Henri Beauthier, ont expliqué,
mercredi, qu'une action devant une juridiction belge était possible
puisque l'un des plaignants était un ressortissant belge et que
celui-ci avait été lésé. Il est effectivement co-propriétaire d'un
champ d'oliviers à Gaza, dévasté le 5 janvier 2009 lors d'une des
offensives de l'armée israélienne.
Par ailleurs, les avocats estiment que la justice belge est
également compétente pour juger de faits connexes, dont l'attaque
contre la mosquée Al Maqadmah, le 3 janvier 2009, où les 13 autres
plaignants avaient été blessés.
Les avocats ont encore exposé que la stratégie de Tsahal durant
cette opération "Plomb durci" était de toucher, de manière délibérément
disproportionnée, la population civile et leurs ressources.
Pour les avocats, les dirigeants israéliens doivent être jugés
pour crimes de guerre et crimes contre l'humanité. La plainte vise 10
personnes: des ministres et anciens ministres, des généraux, notamment
le colonel Gabriel Siboni, considéré comme le concepteur de la doctrine
militaire de Tsahal.
Noms et photos de criminels de guerre israéliens à Gazalundi 2 février 2009 - 08h:46 Kawter Salam
J’ai décidé de publier certains noms et photos de personnels de l’armée israélienne qui ont participé à ce qu’on appelle l’opération « Plomb durci », l’offensive lancée par les Forces d’occupation israéliennes (FOI) sur la bande de Gaza, du 27 décembre 2008 au 18 janvier 2009. Kawter Salam, journaliste palestinienne.
Deux criminels de guerre : le ministre de la
Défense israélien Ehud Barak
Le procureur général israélien Menachem Mazuz est de mèche avec ceux qui ont commis les crimes de guerre dans la bande de Gaza. Ces autres, ce sont Ehud Barak, Ehud Olmert et son cabinet de criminels, et leurs homologues de l’armée, le général de brigade Avihai Mandelblit. Le chef d’état-major Gabi Ashkenazi est également impliqué dans les crimes de guerre à Gaza. Le procureur général d’Israël a demandé à son homologue militaire d’ouvrir une enquête rapide dans l’armée comme mesure « alternative » visant à faire obstacle aux « centaines » de procès internationaux potentiels auxquels il s’attend contre les responsables israéliens, pour crimes de guerre contre la population de la bande de Gaza lors de l’opération. La préoccupation grandit dans les bureaux des ministères de la Justice et de la Guerre israéliens car on s’attend à une vague massive de procès pour violations des droits de l’homme contre les officiers et dirigeants politiques israéliens. L’intention criminelle de Menechem Mazuz, à savoir aider à étouffer les crimes de guerre de l’Etat d’Israël, en conseillant l’armée et en ouvrant une « enquête officielle et interne », est une fraude évidente organisée par le ministre israélien de la Justice. Ce genre de comportement n’est pas celui d’un Etat mais d’une organisation criminelle qui essaie d’échapper à sa punition bien méritée. La censure militaire d’Israël empêche actuellement les médias d’identifier les officiers qui étaient dans les FOI sur la bande de Gaza, et de divulguer des informations à leur sujet qui pourraient être utilisées dans des procédures juridiques devant les tribunaux à l’étranger. L’inquiétude est grande dans les ministères de la Défense et de la Justice de voir des officiers israéliens faire l’objet d’une vague massive de procès pour violations des droits de l’homme. Ces derniers jours, la censure a interdit la publication des noms et photographies des officiers jusqu’au niveau de chef de bataillon. Elle suppose que l’identité des commandants de brigade est déjà connue. La censure a également interdit tout article qui associerait un officier précis du niveau de commandant d’opération (lieutenant à lieutenant-colonel) aux destructions infligées sur une zone déterminée. Le criminel de guerre israélien numéro un, Ehud Barak, a déclaré que l’Etat d’Israël portait la responsabilité de l’envoi des troupes des FOI en missions sur Gaza dans le but de défendre les civils, et à ce titre, il est obligé d’assurer son plein soutien à ces officiers et soldats qui étaient intégrés aux FOI à Gaza. Selon Barak, aucun problème ne devrait être posé aux officiers et soldats en raison de leur participation à l’opération. Le criminel de guerre Barak a ordonné aux FOI de mettre
en place une équipe de renseignements et d’experts juridiques pour
recueillir des éléments de preuve relatifs aux opérations dans la bande
de Gaza, aux fins de les utiliser pour la défense des commandants
militaires dans des procès futurs à l’étranger.
Voici quelques noms des criminels de guerre israéliens qui ont opéré dans la bande de Gaza(Cliquer sur les photos pour agrandissement)
Général de division Ido Nehushtan Général de division Ido Nehushtan : criminel de guerre, commandant les forces aériennes israéliennes qui ont mené toutes les opérations de destructions avec des tonnes de bombes au phosphore. Colonel Ron Ashrov Colonel Ron Ashrov : criminel de guerre, commandant pour la zone Nord de la bande de Gaza, commandant adjoint de la brigade Givati. Général de brigade Eyal Eisenberg Général de brigade Eyal Eisenberg : commandant de toutes les FOI ; ces forces criminelles de guerre de l’ « Opération Plomb durci » étaient placées sous son commandement dans la Division de Gaza ; a personnellement participé à la guerre ; a commandé les opérations auxquelles ont participé des unités des corps de blindés et du génie, ainsi que des troupes de l’infanterie. Eisenberg avait également commandé une division durant la Seconde Guerre du Liban. Colonel Yigal Slovik Colonel Yigal Slovik : commandant le convoi de la 401ème brigade du corps des blindés, est entré dans Gaza sur un char d’assaut Merkava par Netzarim et ne s’est arrêté qu’arrivé à la côte ; a assassiné des civils palestiniens qui avaient brandi le drapeau blanc ; a démoli de nombreuses maisons, écrasant leurs habitants. Les unités de la brigade ont également effectué de nombreux raids avec pour cible l’infrastructure publique. Le commandant de la brigade Sho’alay Marom, Moshe Orr Le commandant de la brigade Sho’alay Marom, Moshe Orr (réserve) : a rasé des centaines de maisons dans Rafah et dans Jabalia. Lieutenant-colonel Yoav Mordechai : a servi comme commandant au 13è bataillon de la brigade criminelle d’infanterie Golani dans la bande de Gaza et lors de la « Seconde Guerre du Liban » ; a attaqué le quartier Tel Al-Hawa où des centaines de résidents palestiniens qui fuyaient à pied ont été assassinés sous les constructions. Dans un drame bien connu, près de 150 civils palestiniens avaient été regroupés par les FOI dans un immeuble, et l’immeuble fut alors bombardé par l’aviation et par les blindés. Le lieutenant-colonel Yoav Mordechai est un ami de l’Autorité palestinienne, et il est notoire qu’il a coordonné ses crimes avec l’AP. Lieutenant-colonel Oren Cohen : criminel de guerre, commandant du 13è bataillon de la brigade Golani, a conduit ses troupes de nuit à l’est de Gaza ville, où elles ont assassiné plus d’une centaine de Palestiniens ; a été légèrement blessé par ses amis criminels de guerre de l’armée israélienne. Cohen et ses soldats ont opéré déjà durant la Seconde Guerre du Liban. Lieutenant-colonel Avi Blot : criminel de guerre, commandant du 101è bataillon de la brigade parachutiste. Lieutenant-colonel Yehuda Cohen : commandant de bataillon dans le régiment Rotem de la brigade d’infanterie Givati, criminel de guerre de la Seconde Guerre du Liban, criminel de guerre à Gaza. Lieutenant-colonel Ronen Dagmi : commandant adjoint au 401è de la brigade de blindés qui a opéré dans l’opération « Plomb durci » à Gaza. Colonel Avi Peled Colonel Avi Peled : criminel de guerre, commandant du bataillon 51 qui a opéré dans Gaza durant l’opération « Plomb durci » et également durant la Seconde Guerre du Liban. Général de brigade Zvika Fogel (réserve) : criminel de guerre, ancien commandant adjoint pour le secteur Sud, était chargé des tirs d’artillerie dans l’opération « Plomb durci ». Son fils Zivi Gogel a également participé à l’ « opération Plomb durci ». Général de brigade Yuval Halamish : officier commandant les services de renseignements des FOI, a participé à l’opération « Plomb durci » dans la bande de Gaza. Colonel Hertzy Halevy Colonel Hertzy Halevy : commandant de brigade, un ancien de l’unité de reconnaissance Sayeret Matkal, commandant la brigade parachutiste à Gaza, a commis des crimes de guerre durant l’opération « Plomb durci » dans la bande de Gaza. Colonel Tomer Tsiter : commandant l’escouade Givati basée à Ra’anana, a participé au massacre dans Gaza durant l’opération « Plomb durci », et antérieurement, lors de l’opération « Rempart », au massacre dans le camp de réfugiés de Jénine en 2002. Gur Rosenblatt : officier de réserve de l’infanterie, a participé à l’opération « Plomb durci » dans la bande de Gaza. Guy Ohaion : officier de réserve de l’infanterie, a participé à l’opération « Plomb durci ». Lieutenant-colonel Erez : corps des blindés, commandant tankiste, a participé à l’opération « Plomb durci ». Major Nimrod Aloni : a participé à l’opération « Plomb durci ». Lieutenant-colonel Shlomo Saban (réserve) : a participé à l’opération « Plomb durci ». Capitaine Ron Vardi : criminel de guerre, a participé à l’opération « Plomb durci ». Colonel Avichai Mandelblut Colonel Avichai Mandelblut : (autre orthographe : Mendelblit), a révélé que ses officiers étaient rattachés durant toute la guerre à tous les commandants, du chef d’état-major aux commandants de division. Colonelle Pnina Sharvit-Baruch Colonelle Pnina Sharvit-Baruch, chef du département Droit international, conseillère militaire du quartier général des forces criminelles de défense israéliennes. Sharvit-Baruch a légitimé les crimes de guerre de l’opération « Plomb durci » dans la bande de Gaza. Elle a justifié l’assassinat des civils palestiniens comprenant des centaines d’enfants. Sous le commandement de Sharvit-Baruch, les experts juridiques des FDI ont légitimé les attaques et les assassinats collectifs dans Gaza, elle a déclaré que les criminels de guerre des FDI durant l’opération « Plomb durci » à Gaza avaient le feu vert. Sharvit-Baruch et sa division ont pensé que l’assassinat de civils palestiniens dans une maison dont les résidents avaient été alertés par les FDI pouvait être considéré comme justifié juridiquement, bien que l’armée israélienne en fait ne cible pas ainsi les civils. Selon un haut gradé de la division Droit international, « Notre objectif n’est pas de brider l’armée mais de lui donner les outils pour gagner d’une manière légale. » La colonelle Pnina Sharvit-Baruch a reconsidéré le droit international relatif à la guerre urbaine. Elle a fait valoir à plusieurs reprises que, d’un point de vue strictement juridique, Israël avait le droit d’utiliser l’artillerie sur des cibles dans les zones urbaines palestiniennes. « S’ils lancent des roquettes contre nous depuis des zones habitées, ou fabriquent des bombes dans les sous-sols des immeubles, nous sommes dans notre droit de bombarder ces zones pour réagir » a déclaré Sharvit lors d’une conférence sur la guerre urbaine dans les territoires. Général de corps d’armée Gabi Ashkenazi Général de corps d’armée Gabi Ashkenazi : chef d’état-major des forces d’occupation israéliennes ; son père fut un survivant de l’holocauste en Bulgarie, sa mère est née en Syrie. Ce dégénéré moral est l’ingénieur de ce nouvel holocauste dans Gaza. Il a perpétré des crimes de guerre également au sud du Liban. Trois de ses soldats avaient été capturés par la résistance du Hezbollah après qu’ils soient passés illégalement au Liban, une provocation qu’il avait ordonnée lui-même. Le rabbin en chef de l’armée israélienne, le colonel Avichai Ronsky Le rabbin en chef de l’armée israélienne, le colonel Avichai Ronsky, fondateur de la yeshiva dans la colonie illégale d’Itamar, au sud de Naplouse, ancien commandant adjoint des blindés. Il est l’auteur d’écrits sur la religion et l’armée. Il a fait ses études avec le prédicateur détesté, le colonel rabbin Yisrael Weiss. En 2007, il a ouvert une nouvelle série de cours pour les diplômés de yeshiva qui ont servi comme soldats dans des unités combattantes, pour devenir rabbins de bataillons dans la réserve. Le premier cours, considéré comme « pilote », s’est tenu à la base d’entraînement n° 1, il a duré six semaines et fut dispensé à 109 soldats diplômés. Le colonel Avichai Ronsky a déclaré que son travail consistait à renforcer l’ « esprit de combat » des soldats. Il fait partie des terroristes d’extrême droite, pas très loin de l’esprit du défunt rabbin Meir Kahane, dont le parti fut déclaré illégal en Israël en raison de idéologie raciste. Sous les auspices du rabbinat militaire, des brochures religieuses fascistes des « rabbins » d’extrême droite ont été distribuées aux soldats. Général de division Yoav Galant Général de division Yoav Galant : Chef du commandement sud, commandant en chef de l’opération « Plomb durci » ; a personnellement participé au massacre de civils dans la bande de Gaza. Richard Awizrat : adjudant de carrière, a participé à l’opération « Plomb durci » et également au massacre de Jénine en 2002 durant l’opération « Rempart ». Général de division Amos Yadlin Général de division Amos Yadlin : chef des services de renseignements de l’armée, a participé à l’opération « Plomb durci ». Yuval Diskin Yuval Diskin : chef des services de sécurité Shin Bet, organisateur de la guerre dans la bande de Gaza. C’est sur sa recommandation personnelle que l’artillerie israélienne a bombardé les hôpitaux et les centres médicaux de la bande de Gaza. Général de brigade Jonathan Locker Général de brigade Jonathan Locker : chef des forces aériennes israéliennes qui ont opéré dans la bande de Gaza. L’équipe qui a préparé ces crimes de guerreLe trio qui a préparé ces crimes de guerre : la ministre des Affaires étrangères Tzipi Livni, le Premier ministre Ehud Olmert, le ministre de la Défense Ehud Barak.
Ehud Olmert : Premier ministre corrompu d’Israël, a légitimé la guerre dans la bande de Gaza avec son cabinet. Ehud Barak : ministre de la guerre israélien, a planifié l’opération « Plomb durci » dans la bande de Gaza pour améliorer ses chances aux prochaines élections. Tzipi Livni : ministre
des Affaires étrangères d’Israël, a conduit la propagande israélienne
pour légitimer le massacre et les destructions dans la bande de Gaza, a
planifié et coordonné l’opération « Plomb durci » dans la bande de Gaza
pour améliorer ses chances aux prochaines élections.
Autres noms de criminels de guerreCi-dessous une liste de noms de criminels de guerre des FDI qui ont été blessés durant le nettoyage ethnique de l’opération « Plomb durci » dans la bande de Gaza. Ces soldats n’ont pas été blessés à Tel Aviv ou en Israël lors d’un attentat terroriste, ils ont été blessés dans la bande de Gaza, après avoir assassiné des centaines de civils, la plupart d’entre touchés par des obus des chars d’assaut israéliens et des bombes au phosphore. Ce sont tous des criminels. Ces noms ont été présentés en différents endroits comme des héros et des victimes, mais la vérité est que ce sont des criminels de guerre. Aharon Yehoshua ben Chaya Shoshanah, connu sous le nom de Aharaon Karov, chef de peloton au 890è bataillon parachutiste. Karov est le fils de Chaya et Karnei, rabbin colon Ze’ev Karov, de l’école terroriste Yeshiva à Kedumim, près de Naplouse. C’est aussi le beau-frère du général de brigade Yoav Mordechai, qui a remplacé le commandant du bataillon 13 de la brigade Golani, après que celui-ci fut blessé le 5 janvier, par un tir ami dans lequel trois soldats ont été tués. Val Jenam, soldat druze Val Jenam, soldat druze, de la brigade Golani (blessé à Gaza par un tir accidentel d’un char sur l’infanterie israélienne). Avi Cohen. Les colons israéliens, dans l’illégalité et criminels, associés au mouvement Chabad, qui ont participé à l’opération « Plomb durci » dans la bande de Gaza. Merci de noter que les noms des extrémistes de Chabad sont des noms religieux, ce qui signifie qu’ils sont fils de leur mère. Il est possible que dans leur passeport, ils soient identifiés sous un autre nom, et également, les soldats de Chabad ont la nationalité étasunienne. Mor Mordechai ben Orna.
Les noms de nombreux autres criminels de guerre des troupes d’infanterie, de blindés, du génie, d’artillerie, et de renseignements ayant participé aux crimes de guerre dans la bande de Gaza restent encore non connus. Il ne faut pas qu’ils se sentent sécurité non plus. Les crimes de guerre, les crimes contre l’humanité et le génocide sont proscrits et poursuivis dans tous les pays du monde d’une manière ou d’une autre, et il n’existe pas de prescription légale pour de tels crimes. La « protection » offerte par Mazuz et ses acolytes est fragile, d’abord en raison du fait qu’une telle « protection » signifie une reconnaissance implicite de la culpabilité, et aussi parce que les lois nationales et internationales traitent spécifiquement de cette question des « procédures factices engagées pour protéger les coupables », et encore parce que depuis le procès de Nuremberg contre l’armée allemande, exécuter les ordres n’est plus considérer comme une excuse et n’absout pas de sa culpabilité. Nous et d’autres continueront à faire le maximum pour trouver les noms du plus grand nombre possible de criminels qui ont opéré dans la bande de Gaza, et toute information qui pourra les mettre derrière les barreaux. Lire et voir davantage de photos de criminels de guerre israéliens sur le site de Kawter Salam Ma décision de publier certains noms et photos est un défi pour l’Etat d’Israël, pour le procureur général israélien Mazuz et les états-majors militaires qui ont interdit aux médias de publier les noms des officiers israéliens ayant commandé lors de l’opération « Plomb durci » dans la bande de Gaza, assassinant 1 310 Palestiniens et blessant 5 600 autres Palestiniens - plus de 90% de ces victimes étaient des civils -, détruisant les biens publics et privés dans de nombreuses parties des villes, et rasant totalement différentes zones du territoire.
"Contrainte par les forces d’occupation israéliennes de quitter ma maison d’Hébron, en Palestine, j’ai fui à Vienne, en Autriche, où je vis actuellement en tant que réfugiée. Avant mon exil, j’ai travaillé plus de 20 ans comme journaliste pour différents journaux et stations de télévision en Palestine. Entre autres engagements, je travaillais pour Al-Quds et Al-Hayat Al-Jadida, les journaux et Al-Majd TV, détruits par l’armée israélienne après mon départ en exil. Je travaillais en utilisant la langue arabe. J’ai également réalisé plusieurs films documentaires liés à la situation à Hébron, alors que j’y vivais : Hébron City without Mercy, Detained and Borders. Ces projets ont été réalisés en coordination avec les Israéliens pour des raisons techniques. Courtes pièces de la ville d’Hébron et détenus sans Mercy sont affichés dans les différents articles sur mon site. CONDITIONS D’UTILISATION La publication du matériel de mon site est encouragée à la condition de reconnaître l’auteur comme Kawther Salam, de fournir un lien vers ce site et de lui envoyer un courriel disant exactement où il a été affiché." Son mel : kawther_salam@yahoo.com Les photos individuelles sont tirées de la galerie photos de Kawter Salam, sur la source "Palestine Think Tank". http://www.kawther.info/wpr
27 janvier 2009 - Kawter Salam - traduction : JPP |
"Palestine- Gaza/Israël - "Opération plomb durci"
Voir : http://www.edilivre.com/doc/19285/La-Palestine-:-Hamas-de-Gaza-et-Israel/Mohamed-Laid-Athmani