FREE PALESTINE
8 décembre 2008

SALAM, & Aid Moubarak!

Une pensée particulière pour les Palestiniens de Gaza ou de Cisjordanie qui célèbrent la fête de l’Aid El Kébir aujourd’hui.

Bonne fête à eux et à tous les musulmans.

Le silence des mosquées ( Bande de Gaza )
Vidéo envoyée par islamlaplusbellereligion

Agir pour la dignité et la vie ! Depuis juin 2007, Gaza vit les pires heures de son histoire. Plus d'un million d'êtres humains souffrent cruellement des conséquences de l'embargo israélien. L'occupation et son cortège de violations plongent une population entière dans une extrême misère. Plus de 80 % des habitants vivent en dessous du seuil de pauvreté et dépendent entièrement de l'aide internationale. Face à une réelle tragédie, le Comité de Bienfaisance et de Secours aux Palestiniens (CBSP) lance un appel aux dons à toute personne de bonne volonté. Cette punition collective est contraire aux principes humains et au droit international. Comment vivre dignement à Gaza en étant assiégé, privé de nourriture, de travail, de carburant, d'électricité, de médicaments ? A la cruauté du blocus s'ajoute le scandale de l'indifférence. Rien n'est fait pour éviter une catastrophe humanitaire. Après l'OMS et la Banque mondiale, c'est au tour de l'ONU de pousser un cri d'alarme parlant de « dommages irréparables » sur le plan économique. Sans plus tarder, répondons à cette grande détresse ! Nous devons affirmer notre refus et apporter notre soutien. Œuvrons ensemble pour briser le sentiment d'abandon éprouvé par des milliers de familles désemparées. La solidarité est le fondement de notre action. Votre générosité nous est nécessaire pour apporter une aide alimentaire et soutenir les hôpitaux. Au nom du peuple palestinien, le CBSP vous remercie par avance pour votre précieuse aide. GROUPE BISMILLAH POUR LA PALESTINE

SALAM, & Aid Moubarak!

Commentaires
A
Je vous envois vidéo et article trouvés sur le site http://television.telerama.fr/television/ce-qu-on-nous-montre-de-gaza-analyse,37820.php<br /> <br /> France 24 : Le désarroi des Palestiniens à Gaza<br /> <br /> <br /> décryptage<br /> Gaza : d’où viennent les images que l’on voit dans les JT ?<br /> Le 7 janvier 2009 à 16h00 Réagissez 2 réactions Envoyez à un ami envoyez à un ami Imprimez imprimez<br /> Tags : palestine JT France 3 France 24 France 2 conflit à Gaza<br /> De<br /> A<br /> .<br /> Pour envoyer ce message, il vous faut entrer un code de securité, généré aléatoirement.<br /> Recopiez l'image<br /> .<br /> LE FIL TéLéVISION - En l'absence de journalistes étrangers sur place, comment et par qui sont tournées les images qui nous parviennent de la bande de Gaza ? Eclaircissements avec Alexis Monchovet, un reporter français qui a l'habitude de travailler en immersion dans le territoire palestinien.<br /> SUR LE MEME THEME<br /> <br /> Que sont devenus les personnages de “Gaza-Sderot” ? | 7 janvier 2009<br /> <br /> Gaza : les JT pris au piège de la neutralité | 7 janvier 2009<br /> <br /> « Aucun journaliste étranger n'est présent dans la bande de Gaza », prennent la précaution de rappeler tous les présentateurs et reporters des différentes chaînes pour expliquer leur difficulté à rendre compte de la situation. L'accès étant bloqué par les autorités israéliennes, les télévisions françaises n'ont plus que deux personnes sur place : Talal Abou Rahmeh, le journaliste palestinien qui travaille avec Charles Enderlin pour France 2, et son confrère Radjaa Abou Dagga, correspondant de France 24. Voici le dernier reportage que celui-ci a livré à la chaîne d'information.<br /> <br /> <br /> France 24 : Le désarroi des Palestiniens à Gaza<br /> <br /> <br /> Excepté France 24, les chaînes françaises ne sont pas en mesure de réaliser de tels sujets. Elles doivent se contenter des EVN (sorte de banque internationale d'échange d'images), alimentées par les journalistes palestiniens sur place et particulièrement par ceux qui ont été recrutés par les agences de presse étrangères (AP, Reuters). Or, ils ont des habitudes de travail bien rôdées, selon le journaliste Alexis Monchovet, qui les a cotoyés lors de ses séjours à Gaza (1).<br /> <br /> « Ce sont de très bons professionnels, très organisés, mais s'intéresser à la vie quotidienne des gens ne fait pas partie de leurs réflexes. Ils ne font que du “hard-news”, de l'actualité chaude : c'est ce que les médias occidentaux leur ont toujours demandé. Les correspondants couvrent chacun un secteur très précis, parfois très restreint, comme à Khan Younes, qui est répartie entre quatre personnes différentes. Ils se déplacent de bombardement en bombardement, ils suivent les ambulances, vont voir où est tombé le missile, constatent les dégâts. Puis chaque chaîne ou agence a un cameraman posté en permanence à l'entrée de l'hôpital d'Ash-Shiva, le plus important de Gaza. La “machine” fonctionne comme ça, ils n'envoient quasiment pas d'autres images. »<br /> <br /> Ces images ne peuvent donc aider les chaînes françaises à prendre du recul sur ce qui se passe à Gaza. Pour avoir des sujets plus construits, il faut regarder… France 24 et, surtout, Al-Jazeera. « Comme elle dispose sur place d'une véritable rédaction coordonnée, elle peut répartir les sujets, couvrir des angles différents, rendre compte des différents aspects de la vie quotidienne des Gazaouis », estime Alexis Monchovet. Problème : ses images sont exclusives, et les chaînes françaises n'ont pas forcément les moyens de les acheter. Sans compter l'accusation de partialité qui ne manquerait pas de leur tomber dessus si elles utilisaient une telle source. Pourtant, elles diffusent allègrement les images fournies par l'armée israélienne…<br /> <br /> Voilà pourquoi le site Arrêt sur images a dénombré, outre les sujets de synthèse qui mêlent les images des deux camps, seulement deux reportages consacrés aux civils palestieniens… contre six dédiés au civils israéliens (du 27 décembre au 5 janvier). Et le déséquilibre n'est pas que numérique. Pour Alexis Monchovet, « même si les journalistes palestiniens fournissent de très bons sujets, ça n'aura jamais l'impact d'un reporter français, avec une tête et une voix que tout le monde connaît, qui fait un plateau en direct sur les lieux d'un drame ». Faute de pouvoir réaliser de tels reportages, Hervé Brusini, rédacteur en chef du 20 heures de France 2, promet pour le prochain JT un sujet sur la difficulté d'informer. Puisque France 3 a déjà fait appel à Radjaa Abou Dagga, pourquoi ne pas reprendre aussi le sujet de France 24 ?<br /> .<br /> Samuel Gontier<br /> <br /> (1) journaliste indépendant, prix Albert-Londres 2008 avec Stéphane Marchetti pour le documentaire "Rafah, chroniques d'une ville dans la bande de Gaza", diffusé l'an dernier sur France 5.<br /> Le 7 janvier 2009 à 16h00
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