!!Génocide à Gaza: J 390!! Tuez-les tous !
L’extermination des Palestiniens de Gaza par ‘Israël’
L'holocauste qui accable les Palestiniens de Gaza a atteint un niveau d'horreur inimaginable, illustré par une vidéo poignante qui a fait le tour des réseaux sociaux, montrant Shaaban al-Dalu, 19 ans, en train de mourir brûlé alors qu'il était encore branché à une perfusion intraveineuse. Il ne s'agissait pas d'une tragédie isolée, mais d'un épisode emblématique de l'intensification du génocide.
Le 13 octobre, une frappe aérienne israélienne a enflammé les tentes de fortune abritant des dizaines de familles palestiniennes déplacées dans la cour de l'hôpital des martyrs d'Al-Aqsa à Deir al-Balah. Au milieu du brasier, Mohammed, le frère de Dalu, âgé de 17 ans, décrit son agonie: “Je ne peux pas décrire ce que je ressens. J'ai vu mon frère brûler devant moi, et ma mère brûlait aussi”.
Mohammed a réussi à s'enfuir lorsqu'il a entendu la frappe, mais pas son frère Shaban, ni leur mère. Son père a sauvé son frère de 10 ans des flammes, mais l'enfant a succombé à ses brûlures quelques jours plus tard, selon le New York Times.
Cette horrible vidéo a été suivie une semaine plus tard par des photos montrant des soldats expulsant des Palestiniens d'immeubles résidentiels à moitié détruits sous la menace d'une arme.
Des images de drones israéliens publiées par le radiodiffuseur public israélien Kan ont montré des Palestiniens rassemblés et forcés de marcher vers le Sud à travers le paysage post-apocalyptique de Gaza sans rien pouvoir emporter.
Un grand nombre de Palestiniens refusant d'obéir aux ordres d'évacuation, souvent transmis par des annonces faites par des drones quadcoptères en vol stationnaire, ont été massacrés par l'artillerie et les frappes aériennes israéliennes.
Les secouristes et les civils qui tentaient de sauver d'autres personnes ont été la cible de tirs de l'armée israélienne ou ont tout simplement été rassemblés et ont “disparu”. Des rapports décrivent de nombreux cas où des Palestiniens ont été attaqués alors qu'ils tentaient d'aider des personnes blessées. La population de Gaza s'est retrouvée sans aucun service médical ou d'urgence, et les services de santé et de défense civile ont dû être complètement interrompus.
Même les hôpitaux n'ont pas été épargnés. Les patients gravement blessés et les médecins qui les soignaient ont été confrontés au même ultimatum: évacuer ou mourir.
De retour chez eux, des médecins occidentaux qui se sont portés volontaires à Gaza se sont dits choqués par le nombre d'enfants arrivant à l'hôpital, abattus non pas une, mais plutôt deux fois, d'une balle dans le cœur ou dans la tête.
Aucun enfant en bas âge n'est abattu deux fois par erreur par les “meilleurs snipers du monde. Et ce sont des tirs en pleine cible”, a déclaré le chirurgien Mark Perlmutter à CBS News.
Les snipers et les drones israéliens ont délibérément ouvert le feu non seulement sur les enfants, mais aussi sur ceux qui tentent de les secourir.
Les familles palestiniennes en fuite ont été contraintes de passer par des checkpoints où les soldats ont séparé les hommes des femmes et des enfants.
Les soldats ont ensuite vêtu les hommes de combinaisons blanches, leur ont lié les mains, leur ont bandé les yeux et les ont fait monter dans des camions militaires pour les emmener de nuit dans les célèbres camps de torture d'’Israël’.
Dans les camps de détenus tels que Sde Teiman, les soldats israéliens ont, au cours de l'année écoulée, affamé, battu et violé par voie anale des détenus palestiniens. Ils ont enchaîné les membres des détenus si étroitement que les médecins de la prison ont été régulièrement contraints de les amputer.
Lorsque ces pratiques ont été révélées, grâce à des fuites de vidéos et à des témoignages de gardiens de prison et de détenus libérés transmis aux médias israéliens et américains, la société israélienne s'est rapidement ralliée aux soldats sadiques et a annoncé que “tout est légitime”, y compris le fait d’introduire “un bâton dans le rectum de quelqu’un” lorsqu'un captif est simplement accusé d'être un membre du Hamas.
Craignant un tel sort et sachant que l'armée israélienne prévoit de répéter la Nakba de 1948 et de ne jamais leur permettre de retourner dans leurs maisons et sur leurs terres, de nombreux Palestiniens du Nord de Gaza ont refusé de fuir.
Ceux qui ont été expulsés de force ont vu des images des forces d'occupation incendiant les vestiges de leurs immeubles d'habitation et posant fièrement pour des selfies et des photos de groupe affichées comme “trophées de guerre” sur les plateformes de réseaux sociaux.
Les horreurs indescriptibles en cours à Gaza font partie d'une stratégie israélienne soigneusement planifiée, connue sous le nom de “Plan des généraux”.
Ce plan, qui vise à “transformer la réalité” sur le terrain et à expulser par la force le plus grand nombre possible des 300.000 Palestiniens restés au Nord de Gaza, en affamant ou en tuant ceux qui résistent et y restent, a été présenté par le général de division à la retraite Giora Eiland au cabinet du 1er ministre israélien B.Netanyahu, en septembre dernier. Les mots d'Eiland étaient d'une précision qui fait froid dans le dos: “Nous devons dire aux habitants du Nord de Gaza qu'ils ont une semaine pour évacuer le territoire, qui devient alors zone militaire dans laquelle tout individu est une cible et, plus important encore, où aucune marchandise ne pourra entrer.”
Après avoir été informé des détails lors d'une réunion à huis clos avec la commission des Affaires étrangères et de la Défense de la Knesset, B.Netanyahu a déclaré que le plan était “extrêmement judicieux”.
Le lancement du plan des généraux a commencé lorsque le porte-parole militaire d'’Israël’ a annoncé que des ordres d'“évacuation” ont été émis pour les Palestiniens des villes et des camps du Nord du gouvernorat de Gaza les 7, 10 et 12 octobre.
‘Israël’ a ensuite assiégé le Nord de Gaza, en particulier le camp de réfugiés de Jabalia, dans ce qu'Amnesty International a décrit comme une “terrifiante aggravation de la longue liste d'horreurs infligées aux personnes vivant dans la zone située au Nord de Wadi Gaza depuis octobre 2023.”
En plus d'encercler Jabalia avec des chars et de la bombarder de frappes aériennes, les autorités israéliennes ont rapidement bloqué l'entrée de toute aide humanitaire, envoyant ainsi le message que les Palestiniens doivent soit quitter le Nord de Gaza, soit mourir de faim.
Le recours à la famine comme arme de guerre s'est avéré très gênant pour les soutiens de Netanyahu à la Maison Blanche, qui épaulent avec enthousiasme le génocide mais souhaitent également éviter une réaction négative des électeurs américains qui pourrait leur faire perdre le pouvoir lors des prochaines élections présidentielles aux États-Unis.
Le 13 octobre, la Maison Blanche a publié une lettre demandant publiquement à Netanyahu de renforcer l'aide humanitaire à Gaza, faute de quoi “poursuivre la livraisons d'armes offensives” de Washington à l'armée israélienne serait remis en cause.
La lettre, rédigée par le secrétaire d'État américain Antony Blinken, note que le montant de l'aide fournie a “chuté de plus de 50%” depuis le printemps et que le montant fourni en “septembre a été le plus bas de tous les mois de l'année écoulée”.
Cependant, Blinken a précisé dans la lettre que Netanyahu dispose d'un délai de 30 jours pour s'exécuter, s'assurant ainsi délibérément que le 1er ministre israélien puisse l'ignorer sans en subir les conséquences.
Comme l'a fait remarquer le Times of Israël, “la lettre a été envoyée quelques semaines seulement avant l'élection présidentielle américaine du 5 novembre”. Par conséquent, “la date limite du 13 novembre atténue manifestement certaines des retombées politiques, étant donné que le président américain Joe Biden ne sera qu'un simple canard boiteux lorsqu'il s'agira de décider si ‘Israël’ a pris les mesures nécessaires pour se conformer” à la demande américaine.
En d'autres termes, quel que soit le nombre de Palestiniens carbonisés, déchiquetés ou affamés, M. Blinken continuera à jouer son rôle en veillant à ce que l'approvisionnement d'’Israël’ en bombes se poursuive sans encombre.
Les atrocités commises par ‘Israël’ dans le Nord de Gaza au cours des dernières semaines montrent la barbarie dont les dirigeants israéliens sont capables lorsque toutes les restrictions politiques et militaires sont levées. Comme l'a rapporté l'agence Reuters le 18 octobre: “À l'approche des élections américaines, ‘Israël’ se hâte d'infliger un maximum de dégâts au Hamas à Gaza et au Hezbollah au Liban et saisit l'occasion pour découper de facto des zones tampons dans le but de créer une réalité irréversible avant qu'un nouveau président ne prenne ses fonctions en janvier.”
‘Israël’ profite ainsi pleinement d'une opportunité qui se présente pour la première fois le 7 octobre de l'année dernière.
Lorsque le Hamas a lancé l'opération “al-Aqsa Flood”, l'armée israélienne a utilisé des hélicoptères d'attaque, des drones et des chars pour tuer non seulement les combattants du Hamas et d'autres résistants palestiniens, mais aussi pour faire périr par le feu des centaines de ses propres citoyens israéliens dans les colonies (kibboutzim) et à la rave Nova, conformément à la directive Hannibal.
En présentant ces morts horribles comme le fait du Hamas et en prétendant qu'il avait subi son propre 11 septembre, Israël a créé une “occasion unique et rare d'évacuer toute la bande de Gaza”, selon les termes du Misgav Institute for National Security & Zionist Strategy [Institut Misgav pour la sécurité nationale et la stratégie sioniste].
Dans un rapport publié peu après le 7 octobre 2023, l'institut écrit: “Il ne fait aucun doute que, pour que ce plan soit mis en œuvre, de nombreuses conditions doivent être réunies simultanément. À l'heure actuelle, elles le sont, et l'on ne sait pas quand une telle opportunité se présentera, si tant est qu'elle se présente.”
Alors qu’a lieu un carnage absolu à Gaza, les militants et les politiciens des partis au pouvoir en ‘Israël’, le Likud, le Religious Zionism et le Jewish Power, attendent et observent l'expulsion massive et le nettoyage ethnique des Palestiniens pour en finir.
Sur les collines qui surplombent Gaza, les colons israéliens regardent pleuvoir bombes, attendant avec impatience l'occasion de pénétrer dans l'enclave et de confisquer les terres et les biens des Palestiniens éventrés par les missiles et l'artillerie made in USA.
Dans le même temps, les législateurs des partis politiques israéliens au pouvoir ont tenu une conférence pour planifier la réimplantation des juifs sur les ruines de ce qu'ils espèrent être bientôt les villes dépeuplées et les camps de réfugiés de Gaza.
La responsable du mouvement des colons, Daniella Weiss, a déclaré à la foule que les Palestiniens de Gaza allaient bientôt “disparaître”: “Nous avons le soutien politique, le soutien du public, et nous avons l'expérience... Nous prévoyons de prendre ce qui nous revient au cours des années de colonisation de la Judée et de Samarie et de faire la même chose ici, à Gaza”.
Alors que Netanyahu continue de nier que le plan des généraux est mis en œuvre, un journaliste de son propre organe de propagande, Amit Segal de Channel 12, n'a pas été embarrassé de reconnaître le contraire: “Nous pouvons continuer à nier que ce qui se passe au Nord de Gaza est une mise en œuvre du plan des généraux - vider l'enclave, affamer les combattants, les éliminer, les capturer. À mon avis, c'est ce qui se passe actuellement.”
Tout en célébrant la mise en œuvre du Plan des généraux, la classe politique et médiatique d'’Israël’ attend maintenant l'élection de Donald Trump à la présidence des États-Unis pour officiellement “transformer les frontières de la bande de Gaza” pour de bon.
Il ne s'agit pas simplement d'un conflit ou d'une guerre régionale, mais d'une tentative délibérée d'effacement et de nettoyage ethnique menée en temps réel sous le regard silencieux du monde entier, hormis l'Axe de la Résistance de l'Asie de l'Ouest.
Note MCP:
Les autorités françaises, 'sionisées' jusqu'à la moelle, n'ont aucun scrupule à inviter des génocidaires pour un Gala de soutien aux Forces armées du régime terroriste israélien! Au-delà du scandale moral que cela représente, cela relève d'une complicité criminelle impossible à ne pas dénoncer. En ces temps terribles pour le peuple palestinien, nous vous pressons donc de signer une pétition contre la tenue d'un tel évènement:
William Van Wagenen -
24.10.24
Source: thecradle.co (traduit par Spirit of Free Speech)